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 drunk in love /pyrowitch

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Patience Halliwell
administratrice

Patience Halliwell

how you doin'?
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› âge : twenty four, wishes she could stay at that age forever but twenty five is ticking already and she hates it.
› job : back at the university to work with people just like her mother used to. oh, and she's a witch so she protects the innocent too.
› race : witch, daughter of the famous charmed ones
› pouvoir : drunk in love /pyrowitch 958fc50c1862cd98acdad9ae8acbad6b4ad159fb
• basic witchcraft
» incantations, potions, localisation, mediumnité
• décélération moléculaire
» évolution en immobilisation moléculaire
» évolution en inhibition moléculaire (pas découvert)
• basic whitelighter
» éclipse, guérison, omnilinguisme, intangibilité
• empathie (pas maîtrisé)
» évolution en réflexion psychique (pas découvert)
» évolution en réplique (pas découvert)
• hydrokinésie

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› camp : she fights against demons and protects innocents; good
› univers : charmed, comics et univers étendu

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› messages : 1435
› avatar : emily browning, the cuttest
› crédit : av. gideon, crack. self, gif. sneakyskunk (pouvoirs), lyrics. lewis capaldi (grace)
› pseudo/prénom : atlantis, manouchka

burn the witch
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MessageSujet: drunk in love /pyrowitch   drunk in love /pyrowitch EmptyLun 8 Mar - 11:15

@nathaniel wilson

Tiff a écrit:
Hurry up or there won’t be any Vodka left.

Le message comme un signal d’alarme, Patience presse le pas, hâtée par la perspective de la boisson – pourtant pas sa préférée mais toujours une référence lors de ce genre de soirée étudiante. La nuit tombée, le froid apporté par la saison et elle enroule ses doigts autour de son écharpe chaude pour tenter de les réchauffer, le bout du nez rendu froid et ses jambes nues à l’exception d’un collant fin (quelle idée, vraiment, de ne pas avoir investi dans un collant plus chaud, aussi !), elle aperçoit enfin le pâté d’habitations où se déroule la fête. Les battements de la musique vibre déjà dans l’air et elle aperçoit les premiers étudiants – certains dans ses cours, d’autres non – qui déambulent dans les rues, passablement bourrés already et elle fronce les sourcils, Patience, parce qu’on lui a assuré que c’était en petit comité, juste pour fêter la fin des partiels du premier semestre. Ce n’est visiblement pas le cas, ugh Tiff et ses info jamais exactes et elle ne peut qu’espérer que toute la fac du coin n’est pas présente entre les quatre murs et deux étages de la maison. Cette dernière se présente finalement devant elle, reconnaissante par ses fenêtres éclairées et ouvertes, le vacarme qui s’en échappe, audible depuis le bout de la rue, et la quelque centaine de jeunes entre dix-neuf et vingt-sept ans (ou alors pas vingt-sept mais des jeunes qui font bien plus vieux que leur âge, en tout cas) éméchés dans le jardin, le trottoir juste devant ou même – et elle doit se mordre la lèvre pour ne pas s’imaginer qu’il s’agisse d’un énième innocent à sauver – perché sur le toit, à jouer les acrobates. Elle est encore dans l’allée quand on lui tend un verre qu’elle accepte sans réfléchir, le vide d’une traite avant de se frayer un chemin jusqu’à l’intérieur où la musique bat son plein, des groupes déjà formés répartissant différentes activités. Elle fouille du regard, Patience, avant de repérer ses amies à elle, se dirige d’un pas ferme, jetant le gobelet en plastique (ugh et la planète, hein ?) dans une poubelle proche (à moins que ce ne soit le hoodie de quelqu’un, elle ne fait pas bien la différence). Un second verre se retrouve dans sa main sans qu’elle ne parvienne à savoir comment, exactement, il a trouvé place entre ses doigts mais elle ne cherche pas plus loin, se laisse emportée par l’ambiance malgré l’absence de sa cousine, de service au P3 ou peut-être accaparée par sa boss, elle ne sait plus bien (n’a pas tellement écouté, en réalité, un poil trop enchantée à l’idée de retrouver un semblant de vie sociale au moins pour une nuit). Deuxième verre vidé quasiment aussi rapidement que le premier, elle attrape une main, se dandine jusqu’à la piste de danse où elle se trémousse longuement, le sourire aux lèvres, la tête commençant peut-être légèrement à valser car ce n’était clairement pas de la vodka dans son verre the second time around (ou alors agrémenté d’autre chose qui aurait caché le goût, traite d’alcool). Le déhanché suit le rythme des chansons, elle repousse et attire tous ceux qui passent à portée de sa main, lip sync parfois quelques paroles avant de prendre la direction du bar. Où elle se sert un verre, tourne la tête, roule des yeux (mauvaise idée). « Should have known you’d be there, » qu’elle grince entre ses dents, Patience, entre reconnaissant le profil de Wilson, sans même savoir s’il l’entend (peut l’entendre) ou s’il l’a vue. « Quite surprise you’re not fucking some pretty dumb ass girl in a room upstairs already, » en rajoute-t-elle une couche, refoulant la vague d’émotion désagréable qui pointe dans sa poitrine. Elle dit ça parce qu’elle a dû apprendre à le connaître, qu’elle sait que la seule chose qui fonctionne correctement chez lui n’est hélas pas dans l’hémisphère nord de son corps – mais elle doit s’avouer plutôt soulagée qu’il ne soit en rute ce soir, parce qu’elle ne l’aurait pas supporté avec son empathie. Elle doit déjà faire avec les émotions de tous les autres autour d’eux, pas besoin de rajouter les émotions de son protégé (yerk, le mot still bitter sur sa langue ou dans son crâne quand il est associé à Wilson et ce, bien que leur fuite aux démons la dernière fois se soit relativement bien terminée – assez pour qu’elle ait eu envie de soigner ses blessures, en tout cas).
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Nathaniel Wilson
administratrice

Nathaniel Wilson

how you doin'?
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› âge : tout juste vingt cinq ans
› job : branleur professionnel aka étudiant à l'université
› race : sorcier, allumeur de feu
› pouvoir : - télépathie (limité)
- pyrokinésie (juste découvert)

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› camp : neutre, le sien surtout.
› univers : charmed (inventé)

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› messages : 563
› avatar : jack falahee
› crédit : av, gif & crack/atlantis ♥♥
› pseudo/prénom : alex, burning bruise.

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here comes trouble.


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MessageSujet: Re: drunk in love /pyrowitch   drunk in love /pyrowitch EmptyLun 8 Mar - 22:44

Stop making the eyes at me
I'll stop making the eyes at you
What it is that surprises me
Is that I don't really want you to

- - - - - - - - - - - - - - - - -
@patience halliwell


So, today is the day. Le jour où la flemme s’est définitivement emparée du sorcier, où le goulot de la bouteille va directement à ses lèvres. Fuck the glass. Il est bien trop courbaturé pour bouger. « You plan on sharing ? » Une voix criarde susurre à son oreille, faisant naître une grimace qu’il n’aurait pu contrôler même s’il l’avait souhaité. L’alcool tendu sans un regard accordé, il ne prête pas plus d’attention à son corps se frottant contre le sien. Examine plutôt la foule sans la reconnaître. Perdu dans ses pensées, dans les basses se répercutant dans son torse. « Wanna head upstairs ? » essaye-t-elle pour la énième fois de la soirée. Been there. Done that. Son visage impassible à l’exception d’un sourcil arqué ne lui laisse aucun doute sur sa réponse et l’expression de la blonde se transforme rapidement en une moue boudeuse. Qu’elle croit certainement attrayante sauf que… « Don’t pout, you’re ugly as fuck when you do. » Aucune répartie ne semble franchir ses lèvres à l’exception d’un soupir offensée. Dommage, l’alcool ne le rend pas plus aimable mais il n’a aucune patience à lui louer ce soir, aucune intention de l’emmener quelque part. Ses tentatives de séduction le laisse de marbre, son poids sur ses jambes n’est qu’irritant plutôt qu’un agréable rappel qu’il a un choix de secours pour finir la nuit. « Did you catch the match yesterday, Wilson ? » Reconnaissant de la distraction, il se tourne vers Matt, l’un de ses coéquipiers, reluquant (pas si) subtilement la blonde perchée sur ses genoux, se lance dans une conversation bien vite rejointe par ceux qui l’entoure. Les bouteilles passent, les joints s’accumulent et son corps finalement se détend, sa tête enfin vidé des préoccupations éphémères qui le retenaient. La voix nasillarde de Lyla, ses différentes promesses et autre dirty talk n’est plus qu’un lointain écho lorsque ses yeux retournent sur la foule environnante, s’échoue sur le déhanché d’une brunette piquant son attention. Finally… Il laisse son regard traîner, un faible sourire sur les lèvres il énumère mentalement les différentes façons dont il pourrait l’aborder… avant qu’il ne pause. Ces courbes sont familières, qu’il réalise d’un froncement de sourcil. Force ses yeux à s’élever pour essayer d’apercevoir son visage, se tend lorsque la réalisation le frappe. Shit. Ces hanches qui bougent au rythme de la musique appartienne – avec ou sans surprise, il n’en est pas sûr – à Patience, son être de lumière. Il se perd dans ces mouvements, attend que l’irritation vienne se mélanger à la luxure pour former le cocktail habituel. L’envie reste pourtant seul alors qu’il continue de la scruter, peut-être parce qu’elle ne lui aboie pas encore dessus. (N’est pas vraiment prêt à s’avouer qu’elle l’attire toujours, si ce n’est même plus lorsqu’ils sont à couteaux tirés.) Sa prise sur le fauteuil se crispe alors qu’il la balaie du regard. C’est une mauvaise idée, il le sait. Une stupide idée comme il les aime mais ce n’est pas comme s'il allait essayer… Right ? Ses doutes s’interrompent lorsqu’elle commence à se diriger hors de son champ de vision, s’apprête à se lever mais… La blonde joue toujours avec ses cheveux, qu’il se rend compte, en a totalement oublié sa présence. « Piss off, Lyla. » Il craque. Finalement. Un regard désapprobateur de Matt accroche le sien mais il sait que c’est bidon, ne veut que passer pour le bon gars de cette histoire. « You’re an asshole, Nate. » geint-elle en se dégageant de son espace. « Ask me if I give a shit. » qu’il marmonne, les yeux rivés sur sa cible. Il est à ses côtés à peine quelques secondes après qu’elle est rejoint le bar, se penche pour récupérer un gobelet. « Et j’aurais jamais parié que tu le serais. Pas d’innocents à sauver ce soir ? » Il rétorque, un rire s’extirpant. C’est une bonne surprise, il décide finalement, qu’elle est choisie cette soirée. A définitivement brisé l’ennui qui s’emparait avant qu’elle ne montre sa présence. Mais peut-être qu’il est simplement intoxiqué. « Is that a proposition ? » Un sourcil arqué trace son corps (pour la énième fois) avant de se reposer sur son visage, un sourire arrogant accroché aux lèvres. Il la taquine, flirt, l’insulte, il n’en est toujours pas sûr. « So what are you doing here ? » Il s’avance un peu plus – sourire toujours en place – dégage une cendre d’une de ses mèches sans y penser avant de relâcher lestement sa main à ses côtés. « Me dis pas pour t’amuser ou j’vais vraiment croire que tu me stalk. » Il la provoque un peu plus, c’est son seul langage avec la brunette à croire mais son ton ne contient le dédain usuel. Fou comment une coopération forcée (et du gin) peut changer les choses.
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Patience Halliwell
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MessageSujet: Re: drunk in love /pyrowitch   drunk in love /pyrowitch EmptyMar 9 Mar - 11:24

@nathaniel wilson

Elle se serait attendu à un ton plus mordant, Patience, mais doit s’avouer surprise que ce ne soit pas le cas. Wilson, pourtant, n’a jamais fais preuve d’autre chose que d’une arrogance sans égale depuis qu’ils se sont rencontrés, rendant chaque séance d’entraînement plus longue et reloue que les précédentes. Elle le scrute pendant deux secondes mais il a déjà son rire et son affreux sourire (pas si affreux que ça) qui s’affichent sur son visage et elle roule des yeux une seconde fois (toujours pas une bonne idée, râle son crâne qui devient douloureux). « Nope, pas ce soir et même s’il y en a, I don’t care, not my problem. Y a d’autres sorcières pour s’occuper d’eux. » Tam et PJ doivent bien être au Manoir à attendre la moindre alerte – le seul avantage d’avoir une famille nombreuse, c’est qu’ils peuvent prendre des tours de garde pour sauver les miches des innocents et botter celles des démons. Et si l’un de ses protégés est dans le besoin… Well, elle assume que dans ce cas-là, elle n’aura pas d’autres choix que d’y aller mais avec un certain degré d’alcool dans le sang, elle espère bien qu’aucun d’entre eux n’aura l’idée foireuse d’aller cogner du démon ce soir. No fucking way ; c’est sa soirée, la seule qu’elle s’octroie depuis des mois, ils auront qu’à mettre ses conseils et enseignements à l’épreuve et se démerder solo pour une fois. Elle est leur être de lumière, pas leur mère. Son pied commence à taper la mesure, ses doigts cognent brièvement contre le bar et elle doit se retenir pour faire un face palm. Elle aurait dû s’en douter, that’s on her – c’est Wilson, après tout. Elle ne peut pourtant pas s’empêcher de sentir le rouge et une vague de chaleur s’emparer d’elle sous son regard, sa dernière conversation avec Pey revenant aussitôt. Elle déglutit, hésite entre fermer les yeux pour tout repousser (de toute façon, cette vague d’envie n’est clairement pas la sienne parce qu’elle n’est pas attirée par Wilson malgré sa belle gueule) mais c’est finalement un sourire amer et ironique qui prend place sur ses traits. « You wish. I’d be to afraid to catch some STDs. » Sa voix s’est faite vibrante, prise d’une émotion inconnue malgré elle et elle se redresse un peu, relève la tête, reprend contenance. Hors de question de le laisser avoir le dessus. Mais c’est peine perdue alors qu’elle aperçoit son bras se lever, sa main qui se dirige vers elle et qu’elle devine ses doigts qui touchent ses cheveux (pourquoi ses cheveux, c’est pile sa zone sensible en plus, ugh, qu’elle le déteste !) et son cœur se tord, douloureux, sa gorge se noue, son estomac se serre.
Nope.
This can’t happen. Not with him.
Et sa main s’est déjà éloignée et Patience, elle relâche finalement le souffle qu’elle retenait sans s’en rendre compte. Elle déteste qu’il soit capable de lui faire ressentir ça et elle déteste encore plus la petite voix de Peyton qui lui redemande si elle crush pas sur lui – parce que non, non, et triple non, elle ne crush pas sur Wilson, elle le déteste, le hait même, lui et son stupide sourire, lui et ses manières de frat-boy, lui et ses cheveux propres et ses mains et son odeur et tout. Elle déteste tout, voilà. « Si j’avais que t’avais été là, crois-moi, je ne serai pas venue ici. » Elle a levé un doigt dans sa direction, accusatrice sans savoir de quoi elle l’accuse réellement. « Et puis fuck, tu crois quoi, que t’as le monopole de l’amusement peut-être ? J’faisais déjà des soirées étudiantes quand tu te mettes à cramer des arbres for no reason, frat-boy. » Elle serre les dents, Patience, s’avance d’un pas mais ses talons ne compensent pas totalement sa petite taille et leur différence, l’obligeant à encore plus lever les yeux pour le voir et woooooow, she’s way too close alors elle recule d’un pas, récupère son verre qu’elle vide d’une traite. Goal : l’oublier. Même si sa soirée est gâchée, maintenant. « Don’t you have some friends to annoy? » lâche-t-elle brutalement, feignant un soupire mais elle s’empêche de lancer un regard pour essayer de reconnaître le visage de ses idiots d’amis ; elle ne sait pas ce qu’elle craint le plus. Y trouver une bombasse qui la fusillerait du regard ou ne voir personne et que Wilson n’ait qu’elle à emmerder pendant des heures. « Or better, a pimp to screw? » Le ton mordant par cette pointe qui vient lui titiller la poitrine, elle tourne la tête, Patience, se resserre un verre. Tout plutôt que se focaliser sur ce feeling qui s’insinue un peu trop visiblement dans ses veines. Et si elle peut faire taire la voix de Pey dans son crâne dans le processus, c’est un bonus sur lequel elle ne crache pas.
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Nathaniel Wilson
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MessageSujet: Re: drunk in love /pyrowitch   drunk in love /pyrowitch EmptyMar 9 Mar - 23:46

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@patience halliwell


Tout est sur le compte de la fume et de l’alcool, qu’il décide mentalement, en s’approchant de son être de lumière. Fuck les conséquences, il a de mauvaises idées à exécuter, une brunette à tourmenter. « Wow, I’m impressed. » qu’il siffle. Il l’est, réellement, même s’il doute de la véracité de cette annonce. Sa dévotion envers ses protégés est plus qu’évidente à ses yeux. Il est certain (et fier) d’être le pire d’entre eux et pourtant elle n’a hésité à venir l’aider alors qu’il était perdu dans une panique lui ayant fait oublier de l’appeler. Mais il laisse sous silence ses doutes, ne peut s’empêcher de répondre à la perche qu’elle lui tend. Sa répartie, à la hauteur de ses prévisions, lui arrache un rire comme seul réponse. Mais l’insulte lui rappelle que ses chances sont maigres, pas qu’elle n’apprécie son apparence, il est certain du contraire. I mean who doesn’t ? Mais c’est l’occasion parfaite. L’avoir ce soir et passer à autre chose. Il sait comment il opère, une fois passé entre ses jambes, elle sortira de sa tête. Il a beau le dénier à qui voudra l’entendre, à cet instant, il ne peut mentir à son esprit intoxiqué, prétendre qu’il n’a pas pensé à la brunette bien plus qu’il ne le devrait depuis sa conversation avec  Sunny, depuis la dernière fois au manoir Halliwell. Alors autant prendre les devants. Ses doigts s’échouent brièvement dans ses cheveux, dégageant quelques cendres, s’attarde quelques secondes avant de se relâcher à son flan. Il n’est peut-être pas empathe comme celle devant lui, mais il note le souffle relâché. Ouaip, définitivement pas insensible. Mais sa bouche vient tout ruiner, bien sûr. Sa main s’échoue à son cœur, geste théatrale, à sa proclamation. « Aw, that hurts, baby. » raille-t-il, moqueur. Perchée sur ses talons, un pas d’avancé, elle n’en est pourtant pas plus impressionnante, visage à niveau presque de son épaule, elle l’oblige à baisser la tête, ne peut qu’arborer un sourire presque cruel en rencontrant ses yeux. C’est définitivement un turn-on, ne lui évoque que des pensées l’enterrant un peu plus dans ses idées stupides. « Damn, real feisty tonight, huh ? » Question rhétorique bien sûr. Elle l’est toujours, pas une surprise.  Il est presque tenté de se pencher un peu plus, examiner sa réponse à une toute autre proximité mais l’intention n’est plus que souvenir lorsqu’elle recule pour finir son verre.  En profite pour rallumer son joint gesticulant entre ses doigts. « Oh come on, Patience, don’t be a bitch. » qu’il exhale. Son regard se tourne brièvement au groupe fraîchement délaissé. Boring. Nope, il est parfaitement bien ici. Bien que partagé sur son but final, il ne compte la laisser pour retourner à sa soirée. Une soirée comme les centaines de ces derniers mois, dernières années. Non, la tourmenter, flirter (ou peu importe ce que sa bouche décide de sortir la prochaine fois) semble bien plus divertissant. « Twice now, you talk about screwing, you’re really sending some mixed signals. » qu’il se moque, le regard brillant d’amusement. Yup, définitivement plus divertissant. Il s’est encore approché, inconsciemment, il réalise finalement. Laisse échapper un soupir, roule des yeux en allant s’appuyer contre le bar, exagérant sa nonchalance. « J’pensais qu’on pourrait avoir un verre pour changer. » souffle-t-il, d’un ton lasse. Changement de tactique. S’il continue comme ça, il va définitivement finir par la supplier. Et nope. Nate, il supplie pas. « Si tu veux retourner voir tes potes, j’te retiens pas. » Il hausse les épaules, le regard fixé sur la foule glisse vers celui de la brunette, sourcil s’arquant en l’attente de sa réponse. Peu importe, réellement, si elle ne veut de sa présence… ben tant pis. Il a toujours d’autre joints à aller fumer, d’autres bouteilles à vider. Puis, la soirée est encore loin d’être terminer. Lui laisser quelques verres d’avance est loin d’être une mauvaise idée. D’autant plus vulnérable quand il décidera d’aller l’embarrasser devant ses amis, la rejoindre danser… ses choix sont multiples.  « Where are they anyway ? Any you wanna introduce me to ? » qu’il reprend, sourire cocky en place. Ouaip, draguer une de ses potes se rajoute définitivement dans la liste possible.  
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Patience Halliwell
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MessageSujet: Re: drunk in love /pyrowitch   drunk in love /pyrowitch EmptyMer 10 Mar - 11:28

@nathaniel wilson

Obligée de se mordre la langue pour ne pas lui cracher quelques insultes plus franches au visage – d’où se permet-il de lui donner un surnom ? Et, question plus importante encore, d’où son stupid heart se permet-il de réagir comme une foutue adolescente en jumpant d’excitation devant le combo surnom plus son attitude ? Quelque chose cloche chez elle, Patience en est certaine. Quelque chose cloche chez elle, ça ne peut être que la seule explication parce que pourquoi, sinon, aurait-elle si peu de self contrôle en la présence de Wilson ? Des crétins dans son genre, elle en a côtoyé un certain nombre (pas qu’elle en soit particulièrement fière, elle se fait l’impression d’être un aimant à abruti) et n’a jamais ressenti autant de mépris à l’encontre de l’un d’eux. Et, comme si ça ne suffisait pas, comme s’il avait besoin d’en rajouter une couche, il reprend la parole et elle a la langue qui vient gonfler sa joue, Patience. « Well that’s funny because I’m only like this where you’re around so I guess there’s an explanation for that, don’t you? Oh wait, you can’t tell cause you can’t think all by yourself. Sorry, forgot. Do you want me to call one of your gorilla friend to explain it to you? » Le sourire dégouline d’hypocrisie et elle se déteste pour ça, Patience. Pour le laisser se glisser sous sa peau et la faire devenir cette bitchy salty woman qui ne peut pas retenir l’acidité de ses palabres. Elle termine son verre, s’en sert un autre quasiment aussi rapidement, laisse un rire sec lui échapper. « Oh wow, you can’t take no as an answer, can you? » Pas qu’elle soit surprise, il a cette attitude-là, ce regard-là aussi, qui lui indique qu’il n’a pas l’habitude de se prendre le moindre non à la figure et c’est sans doute-là le cœur du problème (non pas qu’elle ait l’intention d’essayer de l’analyser, elle est de congé ce soir et là que pour picoler jusqu’à ce que la gueule de bois kick in in the morning). Il reprend la parole et elle esquisse un sourire tout ce qu’il y a de plus factice, l’imite sans en avoir conscience alors qu’il s’approche. « Well, it’s not my fault you’re a slut, Wilson. » Et elle n’aurait pas besoin de son empathie pour s’en apercevoir, juste d’observer sa façon de se tenir. Et puis, est-ce de sa faute s’il l’a habituée à aller draguer des nanas quand ils sont en plein entraînement ? A avoir some dick envies quand elle lui demande de rester concentrer. Elle le regarde s’allumer un joint, là encore peu surprise de cette habitude. Elle se tourne légèrement, attrape un verre qui traîne et le rempli d’alcool, le fourre entre les mains de son protégé. « Here, you have a drink, I have my own, now are you going to leave me alone? » Définitivement en train de lui gâcher sa soirée, à peu près certaine qu’elle vient de passer plus de temps à échanger avec lui qu’elle n’en a passé sur la piste de danse. Elle inspire, ferme les yeux, se pince le nez. She’s so gonna kill him. Elle ne sait juste pas encore quand (ni vraiment comment mais ce ne sont pas les options qui lui manquent). L’hésitation qui l’empêche de faire le moindre pas dans un sens comme dans l’autre, envisage davantage d’aller danser plutôt que d’aller papoter gossip – toujours moins amusant quand Pey n’est pas dans les environs. « No, I ain’t. They all deserve so much better than a shithead like you. » Elle a surtout conscience que Tiff tomberait tête la première dans le jeu de Wilson, elle qui collectionne les morons en guise de petit-ami et semble s’éprendre de tous ceux qui pourraient craquer pour elle (aka la moitié de la fac parce qu’elle est sacrément bonne, Tiff, même Pati doit le reconnaître). Elle termine son verre en affrontant son regard, lueur de défi ou insolence pure, elle n’est pas exactement sûre. Le gobelet se retrouve jeté dans la poubelle la plus proche tandis qu’elle tourne les talons, bien décidée à s’exfiltrer de cette situation ô combien agaçante. Elle retrouve sa place sur la piste, se dandine, bras levé, rapidement rejointe par quelques-unes de ses amies et, entre cinq ou six verres, c’est qu’elle en vient à oublier Wilson, son regard et son sourire. Elle en oublie la conversation, la colère qui aurait pu poindre dans ses veines et il lui semble être totalement désinhibée des émotions des autres – quand c’est tout l’inverse. Approchée depuis quelques minutes par un grand type aux cheveux blonds (lui semble-t-il, elle ne discerne plus très bien les couleurs depuis une dizaine de minutes, aveuglée par les jeux de lumière), elle le laisse poser ses mains à sa taille, se retourne pour coller son dos à son torse.
Et ses yeux se posent sur Wilson.
Encore.
En train de discuter, rire même, avec une silhouette brune. Elle ne devrait pas s’en occuper, elle le sait, en a vaguement conscience mais il y a l’intoxication qui joue sur ses émotions, la blessure de le voir déjà passé à quelqu’un d’autre alors qu’elle l’a repoussé incessamment près d’une heure et demie plus tôt. Elle s’arrête toutefois de danser quand elle reconnu le dos nu de Tiff (elle a des omoplates reconnaissables entre toutes, Tiff mais Patience niera avoir maté une fois ou deux). No fucking way. « Hold this. » Elle fourre son verre entre les doigts de son cavalier d’une danse sans lui accorder le regard, se dirige à grands pas en direction de sa pote et celui qu’elle est censée protégée de toute attaque. Oh boy, faîtes qu’un démon débarque qu’il y ait une bonne excuse quant au cadavre de Wilson qui sera découvert le lendemain. Elle se plante à leurs côtés. « Hey Tiff, Sammy’s looking for you. » Elle échange un regard avec son amie, prête à lui glisser à l’oreille que Wilson est atteint d’herpès ou whatevs, du moment que Tiff comprend le message et se tire – ce qu’elle fait avec un regard suspicieux et Patience sait qu’elle devra s’expliquer le lendemain. Bah. Pas grave. Si ça peut éviter un cœur brisé à Tiff. « Alright, game is over, Wilson. I wasn’t fucking kidding when I told you they deserve better. They’re human being and you might not know what it’s like, but feelings is not something you can play with for the sake of your dick. » Un doigt s’enfonce dans l’épaule du footballeur et elle lève le regard dans sa direction, incapable de se souvenir à quel moment elle s’est retrouvée quasiment collé à lui dans son discours. Ni pourquoi il lui semble tout à coup qu’elle est enivrée de son odeur quand il doit probablement juste puer la weed et l’alcool. « So what’s your fucking problem, uh? » qu’elle reprend plutôt, sans esquisser le moindre pas en arrière, le regard fixé (ou presque) dans ses yeux et ignorant (ou presque) la sensation qui vient titiller son bas-ventre par leur proximité et le nombre de fuckers qui les entourent (elle préfère tout leur remettre sur le dos parce que c’est clairement la vérité ; elle n’a aucune envie de sauter sur Wilson, pas même quand ses yeux glissent légèrement vers ses lèvres, pas même quand elle sait que si elle s’approchait d’un petit pas, ses hanches viendraient frotter contre celles de son protégé).
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Nathaniel Wilson
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Nathaniel Wilson

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MessageSujet: Re: drunk in love /pyrowitch   drunk in love /pyrowitch EmptyMer 10 Mar - 18:44

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« Oh, so you’re just an annoying bitch around me ? I feel oddly flattered. » Il rétorque, se concentrant sur la seule partie de son intérêt. Son sourire mimique le sien, rempli d’hypocrisie et autre frustration. Bien que le sien à cette touche d’amusement qu’il ne semble perdre ce soir. Ouais, elle l’irrite. Pas suffisamment néanmoins pour qu’elle le fasse fuir. Il en est presque devenu insensible. Presque, étant le mot clé. « Not used to it. » qu’il répond sincèrement, d’un haussement d’épaule. Loin est l’époque où la gente féminine le refusait. Il y a toujours des raretés bien sûr mais elles sont généralement gays ou déjà prises, alors ça ne compte pas vraiment. Pas pour lui, en tout cas. Mais bien sûr, Patience est une claire exception. Un seul rire comme réponse à la prochaine insulte dégoulinante de ses lèvres, il n’a rien à contredire. Oh si, peut-être, qu’il préfère man whore à slut, mais il n’est pas à ça près. N’a rien, non plus, à défendre. Il aime son style de vie et en a franchement rien à foutre de ce que peuvent en penser les autres. Y compris, elle. « Fine, be like that. » qu’il essaie un ton lasse, sa prise se resserrant sur le verre qu’elle lui fourre dans les mains, refoulant sa frustration. Ugh. Elle lui donne vraiment envie de l’étrangler. N’arrive à réconcilier comment une si petite nana peut être aussi emmerdante et attirante en même temps. Un vrai maux de tête depuis le premier jour qu’il l’a rencontré. « You gotta work on your sweet nothings. » qu’il lui flashe à nouveau ses dents, bien décidé maintenant à trouver une de ses amies rien que pour la faire bouillonner. Il suit le verre se vider à ses lèvres avant qu’elle ne lui tourne le dos et parte rejoindre la soirée. Wow. Donc c’est vraiment un non, hein ? Le regard s’attarde sur ses courbes, son poing se ferme, geste inconscient réfrénant les émotions contraires bouillonnantes dans ses veines.  Il est partagé. Tant frustré d’avoir été rejeté – seriously what the fuck ? il ne se souvient même plus la dernière fois que ça lui est arrivé - autant qu’excité pour le challenge qu’elle lui présente. La frustration triomphe momentanément, essaye de laver le goût aigre persistant sur sa langue de la fin de son verre. Sans succès. Fuck her. Il peut avoir qui il souhaite et autant de verre qu’il faudra pour le remettre dans le bon mood.

Les bouteilles enchaînées, les joints passés, il en a presque oublié la présence de son être de lumière, stalkeuse et obsession du soir. Presque. Tâche qui s’avérerait nettement plus facile si son regard arrêtait de glisser vers la foule dansante, de s’accrocher aux courbes familières qui semblent comme s’illuminer parmi la masse étudiante. Ugh. Il lui faut une distraction, l’alcool et la fume visiblement pas assez suffisant. Il y en a bien une à ses côtés, difficile de passer à côté alors que malgré son ultérieur rejet lui lance encore des regards lourd de sens. Mais nope, définitivement pas ce soir. Aucun autre soir, s’il est honnête, elle semble avoir perdu tout intérêt avec ces pathétiques efforts malgré sa plastique de bimbo. D’autres silhouettes attirent son regard (qu’il ne compare absolument pas à une autre) s’attarde finalement sur une autre brunette (coïncidence, bien sûr).  Glisse sur ses atouts, remonte pour mieux voir ses traits. Hmm. C’était pas une de celle qui dansait avec Patience ? Fuck, I’m too baked for this game. La lumière, son état le fait douter, maudit mentalement l’obscurité, ces silhouettes interchangeables mais il en reste tout de même presque sûr. Ses yeux se plissent, sa tête s’arque… Yup, definitely one of them. Smoking hot too, btw. Un sourire cruel vient étirer ses lèvres. Mieux qu’une distraction, c’est un appât qu’il lui faut.

Ses yeux ne quittent sa nouvelle rencontre, il n’a d’autre choix. Il l’a retrouvé quelques minutes auparavant, toujours sur le dancefloor. Mais cette fois-ci, définitivement pas seule. Ca l’agace, le sort de sa routine à laquelle il excelle habituellement. Sourire factice, il en rajoute peut-être un peu trop mais celle à ses côtés ne semblent le remarquer, riant facilement à ses sous entendus, flirtant elle-aussi avec aise. Ses muscles se tendent, étire un peu plus son sourire avant qu’une grimace ne vienne étirer ses traits. Il n’est pas jaloux, qu’il se répète. Ca serait totalement ridicule, il ne l’a jamais été. Non, il est simplement agacé, même offensé de ses terribles goûts. Parce que, lui, vraiment ? Il est tout autant une slut que Nate avec encore moins de neurones. Pourtant, elle autorise ces mains à ses hanches, va même se coller contre lui… Shit. Ses yeux retournent sur celle qui devrait captiver son attention, essaie de se raccrocher à la conversation sans qu’elle ne remarque sa distraction. Son histoire se finit d’un rire qu’il imite, enchaîne d’une question sur les quelques brides dont il se souvient, faisant de son mieux pour ignorer la plaie compliquant sa soirée.  Qui apparaît soudainement à leurs côtés. L’irritation précédente s’évapore à l’instant où il examine l’agacement sur les traits de la brunette apparaissant à côté de… Tess ? Trish ? Shit, il a déjà oublié. Ah, Tiff, that’s it. Remercie silencieusement Patience, il ne s’en serait pas souvenu. Leur échange ne lui laisse de doute sur leur familiarité, étire le sourire ornant ses lèvres. Ding. Ding. Il est pas si pété que ça, a bien réussi à dénicher une de ses amies dans cette foule d’étudiants. « Miss me ? » Même s’il le souhaitait, sa satisfaction serait impossible à dissimuler.  Il en irradie presque, peu importe son ton mordant. Elle a lâché l’autre asshole, est de nouveau en sa présence, il ne peut considérer ça qu’une victoire. « Don’t be dramatic. Your friends wants to get screwed, nothing wrong with that. I wasn’t promising anything. » qu’il rétorque, d’un roulement d’yeux. Typique. Bien sûr, elle le considère comme le méchant de l’histoire. Certes, Trish est un mauvais exemple, un simple appât pour capter l’attention de la sorcière. Mais elle semble avoir cette idée, totalement erronée, qu’il promet relation et engagement à celles décidant de rejoindre son lit. Il est toujours clair, Nate, il ne recherche que du sexe. Et oui, il charme, drague, flatte mais si certaines inventent d’autres intentions, sens à ses mots, il n’en prend aucune responsabilité. Il propose toujours du casuel et ne leur fait miroiter ni plus ni moins. Son regard glisse sur le doigt enfoncé à son épaule avant de remonter sur la brunette, brillant d’amusement. « You’re cute when you’re jealous, babe. » Elle s’est presque collée contre lui, absorbée dans son offense, peut sentir l’électricité tiquer ses doigts. L’envie de parcourir sa peau est presque incontrôlable et lorsqu’il remarque ses yeux glisser à ses lèvres… Disparu l’amusement, son  regard se noircit de désir.
Fuck.
He wants her. Badly.
La tension  des dernières semaines accumulées semblent s’agiter sous ses pores et il ne peut résister à tracer le long de son bras avant de refermer sa main sur sa hanche, abaisser légèrement son visage. « We could have fun, ya know, if you weren’t so uptight all the time. » qu’il ne peut s’empêcher de la tiquer. Il opte pour une vérité au lieu de forcer l’usuel bulllshit, qu’elle verrait au travers aisément. Il n’en doute pas une seconde. Sa prise glisse le long de son bas dos pour se resserrer sur son autre hanche. Pas assez pour qu’elle soit douloureuse, suffisante pour qu’elle ne puisse reculer et mettre ainsi plus d’espace entre eux. Attention rivée à ses lèvres, sa langue vient effleurer son inférieur, trahissant ses pensées. Mais il ne cède à la tentation, même lorsqu’il se baisse un peu plus, s’oriente pour que sa respiration vienne presque se coller à son oreille. « Come dance with me » qu’il lui propose, son pouce traçant des cercles sur sa hanche paresseusement. Ses lèvres effleurent le long de sa mâchoire pour revenir scruter son regard, espérant voir sa résistance brisée. Sa patience s’effleure. A ce moment précis, il se fiche des conséquences, bien trop intoxiqué pour même les considérer. Non, il sait ce qu’il veut, concocte déjà une autre proposition si elle le refuse et n’est pas prêt d’abandonner ce jeu avant qu’elle n’abdique.
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Patience Halliwell
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MessageSujet: Re: drunk in love /pyrowitch   drunk in love /pyrowitch EmptyMer 10 Mar - 21:44

@nathaniel wilson

Lèvres pincées, le regard rendu orageux par la colère qui exulte de son corps – provoquée par lui, uniquement lui qui parvient à l’insupporter en un temps record, qui parvient à la faire sortir de ses gonds, l’agacer et rendre ses joues rosées à chaque fake compliment qu’il laisse échapper. C’est un bouffon, qu’elle se répète pour la énième fois depuis qu’elle l’a rencontré, un crétin doublé d’un asshole de première catégorie et bien sûr qu’il prend ses insultes comme des compliments, bien sûr qu’il garde son sourire en coin qu’elle voudrait pouvoir lui faire avaler parce qu’elle ne sait pas quoi dire, ou faire, quand il le lui adresse. Elle voudrait répliquer, Patience, trouver quelque chose d’acide à lui balancer au visage (sens propre comme figuré) mais sait que ça ne servirait à rien. Il veut avoir le dernier mot, elle le lui laissera (et tant pis si ça bouillonne dans ses veines, une chance qu’elle ait appris à maîtriser son hydrokinésie où elle aurait été capable de faire péter chaque canalisation de la maison et d’inonder le salon) ; et peut-être que le laisser derrière, plein de frustration et de fausses envies parce qu’il est, comme elle vient si justement de le souligner, a whore est encore la meilleure réponse qu’elle puisse lui offrir. Alors elle tourne les talons, Patience, son verre à la main sans jamais jeter un regard par-dessus son épaule, pas même pour voir la tronche qu’il tire (elle s’en fout, qu’elle essaie de se convaincre), pas même pour vérifier que sa sortie a eu l’effet escompté.

La soirée qui défile, l’amusement qui redevient son mot d’ordre et elle se laisse envahir par les verres qu’elle enchaîne, l’esprit qui se brouille petit à petit, affecté par l’alcool et les émotions qu’elle parvient à ressentir. L’allégresse des autres, leur joie. Toutes ces ondes positives qui viennent directement l’impacter, jouer sur son humeur festive, achever de la désinhiber alors qu’elle laisse un danseur s’approcher, qu’elle se prête au jeu. It’s been a while, après tout, et même si elle n’a jamais été du genre à chercher la présence d’un mec lors des soirées étudiantes, what the hell. Elle est là pour oublier le bordel de la chasse aux démons, pour s’éclater (et comme elle l’a promis à Peyton, pour en profiter à fond et pour deux). Elle en oublie Wilson et ses répliques, Wilson et son sourire en coin qui le rend attirant (presque charmant, erk), Wilson et sa répartie. Elle en oublie ses copines qui vont et viennent sur la piste de danse, parfois trop loin pour qu’elle puisse leur parler, parfois trop près pour qu’elle n’ait pas l’impression de danser avec elle plus qu’avec son partenaire. Mais le trouble-fête revient, apparition matérialisée aux côtés de Tiff et c’est suffisant pour la rendre sobre – ou presque. Elle n’hésite pas, Patience, et peut-être qu’elle le devrait ; peut-être qu’elle devrait laisser faire, peut-être qu’elle ne devrait pas s’en mêler car ça ne la regarde pas, Tiff est grande, Tiff devrait être capable d’arrêter de tomber dans le piège des mecs. But still. Tiff mérite mieux qu’un cœur brisé par un gars qui doit probablement se coltiner tous les STDs qui existent (et sans doute même celles qui n’ont pas encore dépistées, de sûr qu’il en a inventé une à lui tout seul). Alors elle fonce, Patience, tête baissée, bien déterminée à éloigner le plus possible sa pote de son protégé (qui ne le sera sans doute plus après cette soirée puisqu’il sera mort). Postée à leurs côtés, priant mentalement pour que Tiff pige le message et se tire, qu’elle mette de la distance (et qu’elle vienne la remercier le lendemain en lui offrant son dernier dos-nu qui clairement est magnifique). « Only in your dream. » Sèche, autoritaire, accusatrice, elle dévoile ses crocs à mesure qu’elle parle, se dissimule derrière son envie de protéger Tiff et efface (voudrait effacer) la pointe douloureuse apparue à la vue de ces deux ensemble. « She doesn’t know what she wants but lemme be very clear. Whatever she wants, she doesn’t want it with you. » Certainement pas, même si Tiff avait un jour l’idée folle de chopper une putain de maladie ou des champi. Et puis, elle la connait, elle, Tiff, elle sait bien qu’elle a un cœur d’artichaud ; que chaque jour elle promet qu’il n’y aura plus de mecs dans sa vie, seulement pour tomber dans les bras d’un autre le lendemain ; qu’elle assure que c’est juste pour le fun mais y croit tout un peu. Les larmes, le drame, elle a donné, Patience. Elle sait qu’avec Wilson, c’est tout ce que Tiff récoltera. Elle s’approche sans le savoir, le doigt qui s’enfonce dans son épaule, dégoûtée de s’être fait une manucure si peu de temps auparavant car enfoncer l’ongle jusqu’à le griffer aurait été satisfaisant, au moins un peu. Elle serre les dents, voudrait assurer qu’elle n’est pas jalouse (jalouse de quoi ? elle est peut-être bien jalouse du corps de rêve de Tiff mais franchement, elle n’est pas prête à l’admettre à Wilson) mais ses yeux glissent sur ses lèvres et sa bouche s’assèche, ses pupilles se dilatent, ses yeux s’assombrissent. Self control. Elle veut répondre, she really does, mais il a son doigt qui court le long de son bras et le contact lui arrache des frissons (traitor, qu’elle voudrait hurler à son corps) et pendant deux secondes, elle a le souffle coincé dans sa gorge. « Yeah, if you were less of an asshole, sure, maybe in your dream that could happen. » Mais sa voix a perdu de son assurance, le ton rendu plus rauque, les mots butant pour sortir et elle laisse un sursaut lui échapper tandis qu’il enroule son bras autour de ses hanches. Elle recule le haut du dos, tout ce qu’il lui permet de faire avec la prise qu’il a.
Damn.
It’s getting fucking hot in there.
La vague de désir est ardente, douloureuse, presque. Elle aperçoit la langue qui vient humidifier ses lèvres et elle déglutit, Patience, repousse la pensée qui lui vient aussitôt parce que, what the fuck, ça ne peut pas être la sienne. She’s not that horny. Il s’approche encore et elle profite de leur position, qu’il ne puisse la voir, pour fermer les yeux, essayer de regagner une certaine composition mais sa voix est là, son souffle réchauffer son oreille et de nouveau, la vague vient la frapper brutalement. Elle pourrait vaciller tant les émotions se succèdent, la colère et l’agacement soudainement relégués au fin fond, alors elle agrippe son bras sans s’en rendre compte. It could be fun.
Wait. No.
Maybe.
Elle soulève les paupières à temps pour venir planter son regard dans le sien, les émotions encore embourbées les unes aux autres. « Promise you’ll leave Tiff or any other of my friends alone. And not just tonight but forever. » Un semblant d’agacement qui voudrait percer mais elle n’est pas convaincue, est encore moins certaine de pouvoir convaincre Nathaniel. Elle se sacrifie le temps d’une danse, qu’elle se répète, rien de plus. Juste une danse et après elle quittera cette maudite soirée en entraînant le reste de la bande et tout ira bien.

Sa main glisse jusqu’à venir se glisser dans celle de Wilson et quand il relâche finalement la pression autour de ses hanches, elle en profite pour faire demi-tour et l’entraîne avec elle sur la piste. Elle a l’impression que tout le monde les regarde, qu’ils savent tous how disguted she is (parce qu’elle l’est, peu importe l’émotion que son cerveau essaie d’envoyer à son cœur, elle est purement dégoûtée et rien d’autre, nope, nada, juste du pur dégoût). « Keep your hands to yourself, » qu’elle prévient avec un grondement dans la voix avant de retrouver son ancien cavalier et le verre qu’il tient toujours et qu’elle récupère, vide, avant de le lui remettre dans les mains en ignorant le regard qu’il lui jette, l’insulte qu’il balance à son attention. She’s saving the world (basically, à peu de chose près, vraiment). Elle souffle, hésite entre l’obliger à garder un bon mètre de distance jusqu’à ce que le cocktail explosif kick in et elle s’approche, passe ses bras autour de Wilson, bien heureuse d’avoir enfiler des talons sans quoi ça aurait été plus compliqué encore et, le bassin venant brièvement rencontrer celui de l’allumeur de feu, elle commence à suivre le rythme de la musique, l’oblige à faire de même. Repousse la sensation laissée par ses mains sur elle parce que ce n’est pas important, right – juste du dégoût, encore une fois. Le regard est porté sur un point plus loin, pour ne pas le voir, lui qui est bien trop près, mais il glisse sur sa mâchoire mal rasée, ses pommettes, son regard, ses lèvres et, ugh. « Don’t look so smug, Nathaniel, I’m only doing that so you stop bothering my friends. » Mais ses yeux ont bien du mal à quitter ses lèvres, ses hanches continuent de se balancer en rythme, venant de temps à autre cogner contre celle du sorcier et nope, elle ne savoure pas du tout l’instant, ne ressent aucune électricité quant à leur proximité et rien, aaabsolument rien, ne lui donne envie de le plaquer contre un mur right now.
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Nathaniel Wilson
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MessageSujet: Re: drunk in love /pyrowitch   drunk in love /pyrowitch EmptyMer 21 Avr - 6:56

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@patience halliwell


Les verres se vident, les cendriers se remplissent, alimentent le nuage sur lequel Nate plane. La crew habituel l’entoure, l’ambiance est bonne, la musique alimentant leur enthousiasme mais il n’arrête pas de décrocher. La conversion repasse dans sa tête, sa silhouette attire son regard... Peu importe ses efforts, elle revient toujours au premier plan. Ca l’agace. Ouais, il aime un challenge, a toujours apprécié le chase mais… y a des dizaines de raisons qui devrait le faire fuir. Comme sa facilité à faire naître des envies de meurtre, pour commencer. Ou que ça serait vraiment, vraiment, stupide de coucher avec la nana avec qui t’es coincé deux fois par semaines… et qui possède la capacité de te noyer. Ouais, surtout ce détail. Pas que ça le dissuadera néanmoins, sa temporaire insanité le laisse bien trop entêté pour passer à autre chose. La voix de Sunny nargue ses pensées, s’imagine facilement une réflexion sur ses hormones qu’elle lui lancerait. Thank fuck, she’s not here. Parce qu’il n’aurait vraiment pas pu encaisser les deux en même temps. Pire encore, les deux qui se rencontrent comme sa meilleure amie lui a tant demandé.

La conversation est superficielle, un leur, une danse qu’il connaît bien. Malgré ses objectifs différents, il semble toujours autant fructueux, qu’il remarque avec satisfaction en voyant la brunette s’approcher.  Presque trop facile. Pas qu’il va s’en plaindre, elle représente suffisamment d’obstacles. « God, do you have a hero complex or something ? She’s a big girl, she can decide for herself. » C’est toujours blasé, qu’il lui répond mais la frustration n’est bien dissimulée. En vu de la couleur de ses joues, les heures passées ont été accompagnés d’autant de verres qu’il l’espérait mais éméchée ou non, elle semble toujours aussi chiante. Pleine de jugements, à croire également, sur Tiff, sur lui… et ouais encore une fois, il est partagé entre l’envie d’enrouler ses mains autour de son cou ou de ses hanches. Sa voix affectée ne peut faire naître néanmoins qu’un sourire victorieux sur ses lèvres, lui faire oublier cette première envie pour se concentrer sur la suivante. « Hmm. » Son interjection sonne moqueuse, bien loin du tease qu’il lui frôle la langue, trop proche de la vérité pour qu’il ne puisse la formuler. Ouais, elle a peut-être infiltré ses rêves une fois ou deux... Pas plus de trois, pour sûr.  La main vient s’enfermer autour de sa taille, son recul ne lui fait que raffermir sa prise. No way, he’s letting her go now. Il peut sentir ses résistances s’effriter, l’alcool le désillusionne peut-être mais le simple fait qu’elle ne le repousse pas, n’essaie de se dégager de son emprise est suffisante pour l’en convaincre. Tant qu’il veut en profiter, il ignore cette impulsion d’aller goûter ses lèvres, frôle seulement la peau de sa joue pour lui lancer cette proposition. Du contact, pas de conversations, voilà ce qu’il lui semble définitivement le plus attrayant.  Son regard revient accrocher le sien, à temps pour cette condition qu’elle ajoute. Elle veut se la jouer martyre, sauver ses amies de ses supposés manipulation, et bien sûr, ça le fait sourire. « What if one of them throws herself at me ? » qu’il pause, coin de lèvre tiré. Avant de capituler, souffler, elle veut sa parole alors… « Promise. » lui souffle-t-il finalement. Whatever. He didn’t give a fuck about her friends.

Main dans la sienne, il la laisse le guider vers la piste, se faufile entre les corps dansant auxquels il ne prête attention. Il veut retrouver cette proximité, la sentir de nouveau contre lui au rythme de la musique. Le grondement l’arrache de ses pensées, le force à relever son regard sur le visage de la sorcière. « Didn’t we talk about fun ? » Well, he talked about it. Le plus important, vraiment. Elle s’éloigne déjà,  sa confusion n’a le temps de se détendre avant d’être remplacé par de l’amusement. Il s’attendait à un acharnement en la voyant rejoindre l’autre asshole, pas la descente de son verre oublié. Et Nate, bien sûr, il ne peut que ricaner. D’autant plus à l’écho du mot doux lancé par son partenaire d’une danse. « I thought the annoying bitch was just for me. » qu’il rajoute, lèvre tirée. Elle reste plantée là devant lui, certainement en train de se décider sur une dernière insulte avant de le planter, qu’il décide. Mais elle s’approche, enroule ses bras autour de lui alors que ses mains s’échouent naturellement sur ses hanches. Pression de sa main, il la rapproche un peu plus, suit ses mouvements au rythme de la musique. Sa satisfaction ne peut qu’apparaître transparente sur ses traits, il ne la cache, son regard fixé plutôt sur la sorcière. Qui fait tout le contraire, ses yeux perdus dans le vide derrière ses épaules. Cute. C’est la seule pensée que son cerveau intoxiqué ne peut en retirer.  D’autant plus à cette remarque, qui lui fait presque craquer un rire. « Sure, baby. » qu’il la provoque, naturellement, ses iris noircis piquantes de son usuel malice. He is feeling smug. Why shouldn’t he ? No way he was imagining this tension. Ouais, il ne compte plus les verres qu’il s’est enchaîné, mais il en reste persuadé. Biaisé, bien sûr parce qu’à ce moment, elle retient toute son attention. Ce dont il n’a l’habitude. Trop de fume, qu’il se répète. Le challenge, qu’il rajoute. Mais peu importe, encore une fois, ses pensées sont vite balayés à l’entente des échos finales de la chanson. Libère une de ses hanches pour glisser sa main le long de son dos pour finir encercler autour de sa nuque. « One more. » qu’il réclame, le souffle à son oreille. La tentation est trop grande dans cette position et il n’hésite avant d’enfouir son visage contre son cou. Survole sa peau de ses lèvres, vient l’effleurer de sa langue. Il est en automatisme, maintenant. Oubliée la présence de la foule à ses côtés, il se perd dans le rythme de la musique, dans la chaleur délectable émanant contre son corps. Son esprit bien trop intoxiqué pour quantifier le temps passé. Quelques minutes, bien plus, il ne peut en être sûr. Peut-être même que cette autre chanson n’est pas arrivée à sa fin – elle ne l’a pas encore repoussé après tout. Ou peut-être, qu’il espère, elle est autant perdue que lui. Sa main a retrouvé possession de sa nuque, l’oriente pour dégager le creux de son cou pour l’effleurer de ses lèvres, avant de venir frôler sa joue, pour finir sa quête sur ses lèvres. Qu’il effleure de légères caresses, son regard captant finalement le sien. Ses membres tendus d’anticipation, il ne souhaite que de l’intimité, la foule devenue une présence désagréable. Il veut la convaincre. D’éteindre son cerveau, d’éteindre ses pensées comme il l’a fait et d’aller explorer cette attraction qu’il n’a plus la force de nier. La sortir de son système dont elle s’est emparé. Alors, il durcit le toucher de ses lèvres, s’empare d’un dur mais trop bref baiser.  « I wanna get you upstairs. » qu’il murmure sans filtre, ses dents venant mordiller la lèvre de la sorcière avant de la relâcher. « But I’ll settle for a drink outside. » Ses lèvres fondent de nouveau sur les siennes, sa prise autour de sa hanche se raffermit tandis que l'autre trace le contour de sa silhouette. La coincer dans ce moment pour qu’elle ne puisse le refuser. Parce qu'il ne peut définitivement pas la laisser partir.
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Patience Halliwell
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MessageSujet: Re: drunk in love /pyrowitch   drunk in love /pyrowitch EmptyDim 31 Oct - 18:08

@nathaniel wilson

Elle voudrait, Patience, lui coller sa main contre sa joue, faire preuve d’un peu plus de violence qu’elle ne l’a jamais été jusqu’à présent (qu’elle n’a même jamais envisagé d’être, avant de le rencontrer, lui). Voudrait aussi le planter là, le laisser faire ce qu’il veut puisqu’après, ça ne la regarde pas (et puis, ça ne la dérange pas, qu’il couche donc avec qui il le souhaite, se récupérer champignons, herpès et tout ce qu’elle ne peut pas trop imaginer en l’instant, l’alcool ayant envahi son esprit — ou, en tout cas, en théorie, ça ne devrait pas la déranger). Mais il a jeté son dévolu sur Tiff, l’une de ses potes à elle et elle ne peut qu’y voir une attaque personnelle, Patience, dans sa grande pseudo-paranoïa parce que ça ne peut pas être juste le fruit du hasard, right? Quand bien même ladite pote en question est magnifiquement bien foutue, magnifiquement jolie aussi et réputée pour passer de bras en bras, de lit en lit, adepte des nuits sans lendemain (contre son gré, toutefois, parce que c’est bien Pati qui doit ensuite recoller les morceaux brisés par ces brutes masculines dénuées de sentiment). C’est juste que Tiff, c’est une proie un peu facile, incapable de dire non, le besoin de faire plaisir aussi (même si, pour le coup, elle en récolte certainement une certaine dose — quoique, elle a aussi de très mauvais goût en matière de mec, Tiff donc il ne serait pas bien étonnant que ses mecs du moment soient tous terriblement mauvais au lit). Mais là, il s’agit de Wilson, son imbécile de protégé Wilson, celui qu’elle doit voir deux fois par semaines, quand ce n’est pas plus parce que cet abruti rameute la source et ses émissaires à cause de son pouvoir et elle le sait, Patience, qu’elle ne pourra pas l’entraîner correctement s’il a brisé le coeur de Tiff. Qu’elle voudra juste le noyer, ou l’envoyer se démerder solo face à un petit démon de la trempe de Zankou (ou n’importe quel autre que ses tantes et sa mère ont massacré il y a déjà quelques années). Ça n’a rien à voir avec le pincement de son coeur et cette espèce de jalousie (fausse jalousie, tout du moins) qui s’est installé en le voyant discuter, plaisanter (rire peut-être, même) avec Tiff. Parce qu’elle n’est pas comme ça, Patience : pas le genre à tomber dans les bras du playboy qu’elle détestait juste quelques heures auparavant. Nope, ça c’est digne de Melinda, certainement pas d’elle. « Well, you’re a big boy, you can say no, » qu’elle réplique d’un ton cinglant, préférant ne même pas envisager cette possibilité pour plein de raison (elle n’est pas en train de se sacrifier pour rien, hé ho, faut pas déconner non plus). Les hanches contre les siennes, le geste de recul toujours présent alors qu’il souffle sa promesse à laquelle elle n’est pas certaine de vouloir croire et elle laisse échapper une expiration plus tremblante d’émotions qu’elle ne l’a pensé.

Elle ignore tout, Patience, jusqu’aux regards qu’elle sent pourtant peser sur elle et lui, leurs mains attachées ; elle ignore tout des jugements qu’elle devine sur eux, ce couple mal assorti parce que ce n’est pas un couple, ils ne forment rien qu’un duo mal agencé et si les autres jugent, well, ils ont probablement bien raison — c’est qu’elle est tombée bas mais c’est pour le bien des autres, au moins celui de Tiff et du reste de la bande. Elle fait volte face pour lui faire face et il prend la parole et ugh, elle regrette déjà sa décision, voudrait pouvoir laisser sa pote se démerder, se faire briser le coeur pour la énième fois (et si l’idée se fait tentante, elle sait qu’elle ressentirait un peu trop les émotions de Tiff, les larmes, la déception, la pauvre estime de soi de s’être encore fait avoir, de s’être laissée berner et d’y avoir cru) mais elle tient bon. Un verre oublié descendu sous le regard consterné de son ancien partenaire de danse et elle retrouve Wilson, lui lance un regard noir. « Don’t think too much of yourself, you’re just another male. » Peut-être a-t-elle trop passé de temps en compagnie de Gram’s, au point d’avoir été contaminée par sa misandrie, au point d’être écœurée par la simple existence du sexe opposé — tout en ayant un peu trop conscience que c’est un leurre, qu’elle apprécie un peu trop leur compagnie entre ses draps pour être capable de s’en passer totalement. Tout comme Gram’s n’est pas complètement honnête non plus dans ce rôle-là — comment aurait-elle pu avoir quatre époux, dans le cas contraire ? Elle se lance finalement, bras enroulés autour de son cou, la proximité aidant à rendre son coeur plus angoissé et elle se perd, pendant une seconde, entre le rythme, la chaleur de Wilson tout contre son corps, et les émotions qui continuent de valser autour d’elle, de venir s’imprégner dans son cerveau. Ses yeux rivés ailleurs jusqu’à ce qu’elle capte le smug mile qu’il offre et elle roule des yeux, ne peut retenir les mots. Il a l’air trop fier et trop arrogant et trop, trop lui-même. Elle serre les dents, Patience, et ne peut retenir le soulagement qui affaisse ses épaules alors que la musique s’arrête enfin. Parce qu’il commençait à faire chaud, parce que ses hanches venaient rencontrer un peu trop fréquemment celles de Nathaniel, parce qu’elle a besoin de s’aérer l’esprit, là, tout de suite. Mais il la retient, et les doigts sur sa nuque lui arrachent un frisson désagréable, le même qu’un peu plus tôt. Elle n’a pas le temps de répliquer, une main qui glisse le long de son bras et la tête qui se rejette légèrement en arrière tandis qu’il enfouit son visage dans son cou. Le souffle sur son épiderme, chaud. Remplacé par l’humidité de sa langue et elle ressent l’envie brutalement dans son bas-ventre, dans son être entier qui semble s’être embrasé soudainement. Elle se sent plus intoxiquée qu’elle sait l’être, les pensées floues et les émotions échappées pour ne faire qu’une, celle de l’avoir, lui, là. Elle a les doigts restés autour de son cou qui s’y plantent, remontent dans ses cheveux qu’elle attrape, les yeux clos, les lèvres entrouvertes et elle pourrait gémir, laisser échapper tout haut toutes les sensations qu’il lui provoque et qu’elle n’a pas ressentie depuis un moment. Damn he’s good. La pensée rapidement repoussée, la seconde main continuant sa descente jusqu’à la ceinture de l’allumeur de feu. Elle rouvre les paupières quand il presse sa nuque, les regards qui s’accrochent et elle a la gorge asséchée par l’appréhension, le désir qui continue de brûler, ardent, presque douloureux. Ses jambes se font moins solides quand elle réalise qu’elle veut la même chose que lui, pensées atrophiées, un premier qui se glisse sous la ceinture, remonte légèrement son t-shirt pour toucher sa peau. L’illusion de la lucidité qui s’empare d’elle une seconde nécessaire et elle s’éclaircit la gorge. « Let’s go outside, then. » Persuadée que l’air frais ne peut que lui faire du bien et remettre de l’ordre dans ses idées, lui permettre de s’éloigner un temps, respirer à nouveau. Ses doigts se retirent rapidement et elle replace une mèche de cheveux derrière son oreille, se tourne pour essayer d’attraper deux verres, abandonne finalement et le laisse s’en occuper. Elle trace son chemin jusqu’à la sortie la plus proche, le jardin qui semble immense et s’offre à eux, la brise fraîche qui la forcent à s’arrêter, frissonner et elle croise les bras, tentative ridicule de retrouver un peu de distance. Elle ne veut pourtant que retrouver sa chaleur à lui, qui l’enveloppait encore quelques secondes plus tôt et contre laquelle elle parvient à se perdre entièrement. Elle s’avance dans l’obscurité, sourde aux discussions qui pourraient lui parvenir, lance à peine un regard par-dessus son épaule. She can’t look at him, consciente que si c’est le cas, la logique partirait en vrille. Elle finit pourtant par lui faire face, la main tendue pour récupérer un verre, les doigts qui se frôlent dans le mouvement, courant électrique qui la parcourt. « You know it can’t happen, right. » C’est tout ce qu’elle parvient à articuler, parce qu’elle n’a plus qu’une seule pensée consciente, celle de son corps contre le sien. Elle s’approche d’un pas. « You and me, upstairs. The Elders have rules against that. » Des règles qu’elle ne compte pas enfreindre (pas que ce serait une grosse surprise, les Halliwell sont abonnées à l’infraction des règles, après tout). Surtout pas pour lui. No matter how much she wants him to say fuck the Elders right now. Or more likely, fuck her. Les pupilles dilatées, le verre porté à ses lèvres avant qu’elle ne s’approche d’un autre pas. Lui replace le verre entre les mains avant de se détourner parce qu’elle a besoin de réfléchir — et de se reprendre, putain.
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