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 raise you like a phoenix / detective witch

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Sunny Tremblay
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› âge : twenty two going on twenty three. still very much a child in real life but looks like she's from another century when it comes to magic
› job : student (history), works part time at an herborist' shop (actually sells magic stuff under the owner's nose)
› race : vaudoo witch
› pouvoir :
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- basic witchcraft: incantations, potions
- basic voodoo : invoquer papa legba (et autre divinités)
- nécromancie : sentir les âmes décédées (pouvoir en évolution)
- moon child : ses pouvoirs fluctuent en fonction des astres (et de leur alignement)

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› camp : hasn't chose any, yet, but people seem to think she uses good ol' black magic
› univers : ahs: coven, a bit of ahs: apocalypse (self)

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MessageSujet: raise you like a phoenix / detective witch   raise you like a phoenix / detective witch EmptyJeu 20 Fév - 9:58

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@maxym harding


Elles sont réunies en cercle. En leur centre, la Queen, truie à ses pieds, couteau dans la main. Sunny, elle a le cœur qui tremble de larmes, le corps pourtant inexpressif. Elle lève un regard en direction de la Mama d’Ava, aperçoit son visage constellé des dessins vodoo pour marquer son deuil, ses mains qui ne semblent pas pouvoir contrôler leurs tremblements. Derrière, le père de la défunte, le visage fermé, les poings serrés. C’est la quatrième – un quatrième meurtre commis au sein de leur communauté et les parents des jeunes filles arrachées commencent à perdre patience. Il se souffle qu’il s’agirait d’un Witch Hunter, qu’il est temps d’agir. Les mots se murmurent dans l’ombre mais personne n’ose réellement s’adresser à la Queen. Le bras se lève, lame en avant. La truie couine, crie, essaie de se débattre ; une giclée de sang met fin à ses supplications et Sunny ferme les yeux. Elle ressent la mort jusque dans ses os, les muscles contrits par la présence du Dieu encore dissimulé. Ce ne sera pas Papa – elle préfère donc ignorer la silhouette qui se détache, invisible aux yeux de tous, si ce n’est des siens. La matriarche de la tribu s’avance et entame le chant rituel.
Dans le creux de sa main viennent se loger les doigts de Desirée, dernière cousine de la famille encore peu habituée aux rites qui impliquent des sacrifices. Sunny lui adresse un sourire tendre, lui caresse la joue lentement avant de l’entraîner plus loin ; leurs présences ne sont plus nécessaires maintenant que le chant s’est terminé.

« I want to investigate. » Elle observe la Queen pencher la tête sur le côté, le dos tourné à elle tandis que ses mains attrapent les herbes dont elle a besoin pour sa transe. Le rire éclate, moqueur et tranchant. « Investigate what? » Mais la réponse est connue. Prévisible, même. Sunny passe la langue sur ses dents, ne se laisse pas démonter. « Ava’s murder. I want to know what’s happening. » Elle en a besoin parce qu’elle vient de perdre une amie proche et qu’elle ne parvient pas à se laver du sentiment de culpabilité qui s’est emparé d’elle depuis lors. La Queen se tourne vers elle, les pommettes plus saillantes que jamais, le regard pourtant inquisiteur. « No. » La réponse éclate dans la pièce, le mot unique semblant se répercuter contre les murs. « What? Why not? » Elle a le cœur qui se serre parce qu’elle pourrait deviner la raison qui pousse Marie à refuser sa requête. Si c’est réellement un chasseur de sorcière, tuer la nièce de la Vodoo Queen ne ferait que le lancer encore davantage sur leur piste. « I just need to know who did this. I won’t get into trouble, I promise. » Le regard qui s’échange est long. Les balivernes sont presque palpables. La Queen la connaît bien – elle l’a pratiquement élevée parce que Sunny préférait passer ses journées aux côtés de la puissante sorcière plutôt que parmi les siens. Parce qu’elle avait besoin d’être rassurée sur toutes les voix et les visages qu’elle était la seule à discerner et que seule Marie était capable d’atténuer avec ses pouvoirs. « You have four days. If you find nothing at all, well, you lemme handle this. And if you find something, you come tell me right away. » Le ton ne laisse pas place au doute, moins encore à la désobéissance. Elle opine lentement, retient tant bien que mal le sourire qui cherche à se faire une place sur ses lèvres. « And Sunny? » Elle est à la porte, se retourne à demi sans pour autant chercher à poser les yeux sur la Queen. « Be very careful out there. »

Il fait nuit, le bâtiment est plongé dans l’obscurité. Le portable en mode lampe torche activé dans une main, elle se faufile dans le couloir jusqu’à trouver le bureau d’Ava. Si le local exigu peut être appelé ainsi. La sorcière a davantage l’impression qu’il s’agit d’un placard à balai décoré pour donner l’impression d’être un bureau – une table, une chaise, quelques tiroirs et c’est tout. Elle contourne les meubles, ouvre l’ordinateur et jure quand elle le trouve bloqué par un mot de passe. Fucking Ava. Elle regarde l’heure sur son écran, grimace. Elle n’a pas le temps pour invoquer l’esprit de son amie, moins encore pour l’incendier de lui avoir omis le détail du mot de passe. Pas que ça aurait été d’une grande aide, de toute façon – Ava a été plutôt vague quant à son meurtrier, incapable de se souvenir avec précision de quoique ce soit. Si ce n’est qu’il lui avait paru familier. Un client, un collègue lointain – quelques pistes que Sunny comptait fouiller à fond pendant les quatre prochains jours.
Elle abandonne l’ordinateur à sa place, se glisse hors du bureau pour trouver le chemin de la chambre noire évoquée par Ava. Une photo qui pourrait parler ou l’aider. Elle compte bien ramener l’ensemble du travail de son amie pour les lui montrer et voir si quelqu’un semble déclencher un souvenir de la nuit du meurtre. Elle pénètre dans la pièce, se dirige à moitié à tâtons parmi le bordel qui y règne, regrette de ne pas avoir demandé à Nate de l’accompagner. L’endroit lui envoie d’étranges vibes dont elle se passerait bien. Elle trouve finalement la table et les caissons qui abritent les photo prises par son amie. Reconnaissant les angles de prises de vue, elle se laisse emporter par un brin de nostalgie, les parcourt rapidement du regard. Un sourire triste flotte sur ses lèvres quand elle entend du bruit provenant du couloir et holy shit, ça doit être le garde qui revient pour sa ronde. Elle éteint son téléphone, se jette sous un meuble – mauvais calcul. Sa tête heurte du bois (ou du métal ? Avec sa touffe de cheveux, elle n’arrive pas bien à déterminer la matière) et elle sait que le garde a dû l’entendre. Pire, qu’il va débarquer d’un instant à l’autre. Ne lui reste qu’à paraître chill et trouver une excuse quant à sa présence. Elle se redresse, une main posée sur la surface la plus proche. La porte s’ouvre et elle lève les mains en réflexe. « Oh hey. I’m, erm… Ava’s secretary. I was asked to come and clean her desk. » Son sourire est figé, son diaphragme n’ose pas se soulever. Les faisceaux de lumière la font plisser des yeux et elle rallume son téléphone pour aveugler l’autre à son tour. Tique quand elle ne reconnaît pas l’uniforme de l’agent de la sécurité. « You don’t work here, » remarque-t-elle à voix haute, dégoûtée d’avoir balancé l’un de ses meilleurs mensonges pour nada.
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Maxym Harding
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Maxym Harding

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› âge : trente-trois ans
› job : détective, ancien agent du fbi
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› pouvoir : aucun, si ce n'est sa dévotion pour son métier.
› camp : le bien.
› univers : marvel (inventé)

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MessageSujet: Re: raise you like a phoenix / detective witch   raise you like a phoenix / detective witch EmptyJeu 20 Fév - 18:16

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Le détective se frayait un chemin sous la pluie éparse, évitant les passants, voisins et autres journalistes agglutinés près de la scène de crime, ignorait son nom résonner dans la nuit, par cette voix vide d’un scoop qu’il ne possédait devenu presque familière tant ses derniers meurtres étaient rapprochés. Déjà quatre femmes en moins de deux mois. Quatre. Bien qu’il n’ait encore accès aux informations de cette nouvelle victime, son instinct lui pariait qu’il trouverait le même mode opératoire, la même arme de crime planté dans le corps de la défunte. Un tueur en série sévissait dans les rues de Neverland, il n’en y avait pas le moindres doute… Ou plutôt, un chasseur de sorcière devrait-il dire. « Well, it’s about time ! » La voix de son partenaire s’élevait au-dessus de la pluie battante et il chassait les gouttes qui ruisselaient sur son visage, plaqué ses cheveux en arrière, pour s’introduire sous le porche sous son œil réprobateur. « I got here as soon as I heard. Another dead female, right ? Mid to late twenties ? » « I’ve been calling you for over an hour, Harding. Where have you been ? » Sa mâchoire serrée, ils s’avançaient dans la demeure de la victime et après avoir laissé un ange passer, il se décidait à cracher le morceau. « Checking out a lead. » « What lead ? » « One that didn’t go anywhere. » « You’re avoiding my question. » « ‘Cause you don’t want to know the answer. » Leur répartie s’achevait avec l’arrêt de leur pas, leur regard accroché. Mais Maxym connaissait les réticences de son partenaire, de la police en général pour croire en ce monde occulte et aux sorcières malgré toute la folie qu’il continuait de voir, d’expérimenter jour après jour. Mais puisqu’il ne semblait vouloir reculer… « I went to an occult shop. »  « You hate me, don’t you ? You wanna see me suffer. » « I want to solve these murders. » Parce que peu importe qu’elles soient humaines, sorcières ou même sirènes… leur rendre justice était tout ce qu’il lui importait. Mettre ce meurtrier derrière les barreaux le reste de son existence pour qu’ils ne puissent plus jamais continuer ses atrocités. Mais force était de constater… « Someone’s after witches. » « Women. » Que le doigts de Liam le reprenait. Alors il abandonnait, maintenait le silence, s’ils devaient visiter chaque magasin occulte de cette ville pour s’approcher d’une réponse, l’entêtement de son partenaire n’allait certainement pas impacter sa motivation. « Just do me a favour. Don’t follow a lead without checking with me first. » « You want to go to occult shops ? » Les mains enfouis dans les poches de son costume, son sourire s’élargissait jusqu’à que le visage impassible de son partenaire ne finisse par lui faire miroir, pour seulement quelques secondes néanmoins Liam se détournant déjà, retournant au travail sous un rire empli de fatigue et de frustration.  

« Thank you for your time. » Un nouveau remerciement, une poignée de main, Maxym s’extirpait du bureau du rédacteur en chef, son portable dans les mains avant qu’il n’ait fini de franchir la porte. Mais malheureusement pas de nouveau messages du labo, et il ne pouvait empêcher un souffle de frustration franchir ses lèvres. La scène qu’il avait découvert, bien qu’accablé des mêmes similarités, avait aussi brillé dans sa différence, dans son déchaînement plus violent que les autres assassinats. L’incitait à croire que le meurtrier commençait à prendre ses aises, un trop plein de confiance que la victime lui avait sans aucun doute fait regretter en vue du chaos qui avait régné la pièce. Mais lui laissait l’espoir qu’ils pourraient finalement mettre la main sur une trace d’adn absente des autres scènes. Une grimace déformait ses traits lorsque son regard croisait l’horloge. Déjà vingt-deux heures et il fallait encore qu’il repasse au poste finir de la paperasse reportée toute cette journée extrêmement chargée. Et autant qu’il culpabilisait déjà, il ne doutait que Kal lui ferait définitivement regretter ce retard. C’était ainsi entre la culpabilité pour la solitude de son compagnon et son esprit essayant de résoudre ce puzzle sanglant que son attention se faisait brutalement attrapé par un bruit sourd. Il pivotait, balayait du regard les bureaux semblant vides, s’avançait un peu plus dans le couloir pour s’arrêter vers cette porte source, qu’il pensait, de l’étrange son. Sa torche allumée pointé de sa main, il l’ouvrait pour découvrir une jeune femme, les mains levées, le sourire crispé. « Right... A dix heures du soir. » Ses épaules se détendaient, ses lèvres se tiraient d’un sourire amusé de cette tentative – pas de chance, il avait rencontré son assistante quelques heures auparavant – et son faisceau maintenu sur son visage scannait brièvement dans un réflexe son apparence, s’accrochait sur son portable qu’elle extirpait avant qu’il ne s’échoue à terre.  « Well, I guess that makes two of us. » Qu’il la challengeait, son sourire pourtant toujours animé d’un air amusé. Bien que la raison de sa présence restait à éclaircir, elle était loin de correspondre à l’ébauche qu’ils avaient constitués de ce meurtrier en liberté. « I’m Detective Harding, I work on Ava’s case. » L’éclairait-il finalement, dévoilant son badge accroché à sa ceinture. Un, deux pas, il se rapprochait de la jeune femme, mais surtout du bureau sur lequel il projetait son faisceau toujours allumé. « J’peux avoir un nom ? » Ses lèvres toujours tirés d’un léger sourire, son regard glissait vers son visage, s’attardait quelques secondes sur la jeunesse évidente de ses traits, se retrouvait à parier mentalement son âge. « And maybe, what you’re doing here ? » Curieux de voir si elle s’entêterait dans la voix du mensonge… ce qui serait plutôt évident à discerner si cette première interaction n’était un accident de parcours.
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Sunny Tremblay
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MessageSujet: Re: raise you like a phoenix / detective witch   raise you like a phoenix / detective witch EmptyJeu 20 Fév - 21:16

Il se fout de sa gueule. C’est sa première constatation quand elle parvient à faire fi du faisceau de lumière qu’il dirige dans ses yeux tandis qu’elle essaie de discerner les traits de son visage. Parce que okay, elle est toujours incapable de donner la couleur de son regard, mais son sourire moqueur, ça, elle le voit. Et elle le voit même trop bien. Elle ravale son envie de lui balancer une petite malédiction (Marie lui a fait promettre d’être discrète et elle n’a pas très envie de se retrouver avec la foudre la Queen dirigé vers elle tout de suite) et hausse les épaules à la place. « Y a pas d’heures pour bosser et rendre les affaires à des parents en deuil. » Elle a un ton mordant, Sunny, parce qu’elle n’aime vraiment pas le sourire qu’il arbore (c’est une fossette qu’elle voit, là ? craquant) et décide, pour se venger, de lui éclairer le visage à son tour. Pas sûr que ça a l’effet escompté – il sourit toujours – mais au moins cela lui permet-il de constater qu’il ne bosse pas dans les locaux. Et qu’elle vient de gaspiller une bonne excuse (qu’il n’y ait pas cru ne change rien au fait que son mensonge était crédible) pour rien. « Vous connaissez pas les heures sup ? Votre boss doit se lamenter de votre boulot. » Certes, elle non plus, ne les connaît pas, ces fameuses heures supplémentaires. Elle ferme boutique dès que les cloches sonnent et ne s’attarde sous aucun prétexte (sinon, bonjour la vague de sorcières de dernières minutes qui, en plus, traînasse parce qu’elles oublient que les commerçantes aussi, ont une vie). Mal placée pour parler mais il est pas censé le savoir, lui. « You’re wasting your time here. » Parce qu’elle a déjà raflé les photos – enfin qu’elle était sur le point de le faire – et qu’un petit flic risque pas de combattre un démon ou un witch hunter. Un flingue, ça fait pas le point contre tout, contrairement à ce qu’affirme les films de Stallone. Et de Bruce Willis. Elle se penche en avant, les yeux plissés. « Qui me dit que c’est pas un faux, d’ailleurs ? » Elle plisse le nez, soudainement suspicieuse (faussement, en tout cas). « Dix heures du soir, c’est pas vraiment une heure habituelle pour enquêter. » Elle esquisse un sourire insolent, persuadée de marquer un point dans leur joute verbale – de ce qu’elle prend pour un concours de joute verbale, en tout cas. Elle voudrait croiser les bras mais la lumière qu’elle projette se dirige sur le mur et elle interrompt son geste avec un soupir exaspéré. « Jane, » ment-elle sans sourciller parce qu’il a demandé un nom, pas à ce qu’il soit vrai. Et puis, il peut pas deviner s’il est faux (à moins d’être télépathe). « Je passais dans le coin. » Elle se mord la lèvre, consciente qu’il est probablement temps d’arrêter les sarcasmes avant de se rappeler que ce n’est pas Papa et qu’elle ne craint probablement rien. C’est un humain et un homme, de surcroît – un p’tit battement de cils et il aura oublié qu’il l’a croisée. « Je suis une amie d’Ava. » Elle ne corrige pas l’utilisation du présent – pour elle, Ava n’a de mort que le statut officiel. Elle peut l’invoquer quand elle le souhaite, continuer leurs conversations folles et les projets délirants. Ce sera juste différent (mais vachement plus fun pour Hallowen pour terroriser le reste de la famille vaudoo). « Je suis venue récupérer des affaires pour les rendre à ses parents et… Et retrouver l’endroit où elle passe le plus de temps. Passait, » se reprend-elle avec un sourire qu’elle espère suffisamment triste pour qu’il tombe dans le panneau. Parce que c’est pas tout, mais elle a un putain de meurtre à élucider, elle. Et un chasseur de sorcières à neutraliser. « Y a rien ici. Juste les négatifs des photo qu’elle prenait. » En l’instant, elle regrette quand même vachement de ne pas avoir le don de persuasion pour le persuader (logique) de faire demi-tour et d’aller enquêter ailleurs. Peut-être qu’elle peut inventer un petit sortilège pour ça. Hm. Il lui faudrait du romarin, du sel et de la sauge. Difficile de passer inaperçue si elle se met à fouiller les ingrédients dans les placards de la chambre noire. Dommage. Ca aurait été plus simple de ne pas l’avoir dans les pattes. « Si vous êtes vraiment un flic, je peux vous aider. » Elle a le regard qui s’éclaire d’une lueur malicieuse parce que, hey, autant se servir à bon escient des capacités d’investigation d’un pro. « On me surnomme Sherlock Holmes dans le milieu. » Un argument de taille pour le convaincre, même si elle peut pas vraiment lui avouer que le milieu s’arrête au cercle familial et que c’est davantage balancé comme un soupire exaspéré à sa tendance à fourrer son nez de partout que comme un compliment sur sa capacité à dénicher tout et n’importe quoi (ni même que seule sa sœur Astoria l’a appelée comme ça, en réalité). Il a pas besoin de connaître les détails.
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MessageSujet: Re: raise you like a phoenix / detective witch   raise you like a phoenix / detective witch EmptyVen 21 Fév - 0:28

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Son ton mordant le surprend, définitivement pas ce qu’il s’est attendu de cette jeune femme pris la main dans le sac. Referme néanmoins bien vite sa bouche ouverte pour retrouver cet air confiant, plus composé. Son assistante interrogée quelques heures auparavant, il n’a ainsi de doutes, veut avant tout s’assurer qu’elle n’est de la presse, désespérée d’avoir quelque chose de plus à publier que les autres concurrents. (Mais sûrement, parce qu’il en a constamment sur son dos en ce moment vu le peu d'informations délivrés, alors il devient un peu parano.) Elle n’en a pas vraiment le look néanmoins. Il laisse glisser ce ton piquant, ses remarques qui lui arrache un rire silencieux. Dans un sens, elle n’a pas tort. Son boss se lamente bien comme bon nombre de ses supérieurs, pas de ses heures supplémentaires néanmoins mais bien de leur manque de résultat sur cette affaire épineuse. « What I do know is Ava’s assistant since I met her a few hours ago. » Qu’il essaye toujours de décrypter son expression malgré son propre flash venu l’aveugler à moitié, ajuste ainsi son propre faisceau le descendant sur la jeune femme. « J’préférerais en décider. » Mais tout ce qu’il récolte est son air suspicieux, lui fait arquer un sourcil. « Well… mon capitaine ne se lamente pas beaucoup, I guess. » rétorque-t-il sa précédente raillerie, haussant les épaules. Son partenaire beaucoup plus, certes. Mais ça, elle n’est pas censée le savoir. En profite pour enchaîner sur de simples questions en commençant par son nom. Jane, c’est joli. Plutôt générique mais well, tout ne s’harmonise pas. Si ça l’est réellement bien sûr, un autre évident sarcasme sortant de sa bouche lui prouvant qu’elle a bien l’air décider à se payer sa gueule. « Right. » chuckle-t-il. Parce qu’il est trop fatigué pour être irrité et en toute honnêteté, c’est certainement la conversation la plus distrayante et moins morbide qu’il a entretenu depuis des jours. « Can I see some ID, please ? » souffle-t-il plus neutre. Peu importe réellement comment se déroule cet échange, il ne manquera pas de vérifier les systèmes. Bien qu’elle ne lui éveille aucun soupçon, il est bien placé pour savoir que les apparences peuvent s’avérer trompeuses. (Certainement pas parce qu’elle a réussi à piquer sa curiosité et qu’il a pris de sales habitudes.) Simplement parce qu’il avait de toute façon déjà prévu de retourner au poste… Damn, il n’est pas encore rentré. Kal va lui faire regretter, si son canapé n’en a pas déjà souffert les conséquences. Mais elle lui révèle être une amie de la défunte et pour la première fois, il ne la doute pas. « I’m sorry for your loss. » Se laisse même berner par le sourire triste arborant ses lèvres. Son esprit pourtant déjà sur les questions qu’il pourrait lui poser si elle se révèle plus coopérante (et peut-être la façon la moins tordue de lui demander si la photographe se considérait sorcière ?). Le faisceau revient illuminer le bureau, le pose sur ce qu’elle lui décrit. Certainement ceux de son dernier jour et ses précédents, qu’il compte maintenant embarquer au poste. Son agenda incomplet de ses dernières missions fourni par son boss pourra être ainsi peut-être comblé par ces négatifs. Savoir plus des itinéraires, le chasseur de sorcières repérant ces victimes bien avant son crime en vue de ses évidentes connaissances. (Ce qui présage plus de caméra de surveillance, et argh, sa tête en explose d’avance.) « A vrai dire, ces négatifs auraient dû être emmené au poste mais tout sera restitué à la famille aussi vite que possible. » La torche balayant la pièce sombre, il ne peut maintenant résister à une fouille des lieux, dès sa solitude retrouvée. Son appartement n’a révélé ces habituels artefacts, herbes ou autres signes trouvées chez les autres victimes (ou alors il les a loupés, malgré ses nombreuses recherches, ce domaine lui est encore sensiblement nouveau), mais peut-être que cette pièce lui prouvera cette déduction qui ne cesse de le frapper. Plus simple certainement plutôt que trouver une façon alambiquée de lui extorquer cette information. Sourcil arqué, son regard glisse de nouveau vers la jeune femme pour découvrir une lueur malicieuse illuminant les siens. Il la laisse continuer, sa prochaine remarque testant les limites de ce masque amicale cultivé au fil des années. « Oh ? » Mais le rire ne craque pas, approuve plutôt d’une légère moue. « But yeah, I guess you got the asking question part right. » Sans compter la confiance et le mordant qu’elle exulte. « So that’s why you’re here ? You wanna solve her murder ? » Son regard adouci, il n’y a de signes de moqueries dans son ton. Le deuil se manifeste de bien des façons, si elle veut amener justice à son amie… bien, il respecte ça. « Mais si tu as tes théories, n’importe quelle sorte d’informations, événements étranges qu’elle t’aurait raconté… même si tu les trouves ridicules, je serais ravi de les entendre. » continue-t-il honnêtement. Amie de la victime, il ne déclinerait ce genre de conversation si elle compte s’ouvrir. Son esprit pourtant déjà sur la dimension plus occulte, se demande pour la première fois si elle partage les convictions de son amie disparue. Peut-être même qu’elle aussi fait partie de cette communauté. Les mots sont au bord de ses lèvres, estime qu’il a plus de chance d’extorquer une réaction franche avec une honnêteté brutale. « Comme si elle a été ciblée pour sa nature de sorcière et que nous avons affaire à une sorte de.. chasseur de sorcières, par exemple ? » Qu’il prend finalement le pari, ses traits composés scrutant la jeune femme. Espère qu’il aura plus de chance à comparé de la voix plus traditionnelle qu’il avait pris avec les propriétaires de boutiques occultes rencontrés.
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Sunny Tremblay
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MessageSujet: Re: raise you like a phoenix / detective witch   raise you like a phoenix / detective witch EmptyMar 25 Fév - 16:34

Fuck, voilà que le mensonge part réellement en fumée. Sunny, elle n’est pas certaine de vouloir croire à la coïncidence qui voudrait que ce type (détective, si c’en est vraiment un) ait comme par hasard rencontré l’assistante d’Ava plus tôt dans la journée mais elle est forcée de constater que ce serait quand même un peu logique. En tout cas, s’il fait son boulot correctement. Double shit. Elle tord la bouche, essaie de masquer au mieux la contrariété qui voudrait tirer les traits de son visage. « What makes you think that she isn’t the liar but I am? » Elle relève la tête, Sunny, le port altier de son appartenance à la famille royale des vaudoo, le nez en l’air pour le défier de lui trouver une excuse à la con sur sa façon de la catégoriser directement chez les menteuses criminelles avec lourd casier judiciaire (il va être déçu, le pauvre, parce que Sunny, elle a un casier impeccable, merci la Queen). Elle préfère ne pas relever la réponse sur le boss, pas l’envie qui lui manque, pourtant – elle veut bien le même boss, même, parce que le sien commence à froncer du nez des heures supp qu’elle lui fait payer tous les mois et elle commence à être à court d’excuse. Le fake prénom lui échappe des lèvres sans qu’elle ait besoin de réfléchir, comme si elle avait toujours utilisé de ce prénom pour s’en sortir lors de situation épineuse (ce qui est faux, parce qu’autant Nate est bon pour dénicher des fakes ID, autant il n’a aucune imagination en matière de prénom, ce qui est un comble pour un gars qui a couché avec la grosse majorité d’Oak Valley). Ne s’attend toutefois pas à ce qu’il tienne à vérifier son identité – et si elle perd de sa superbe pendant une fraction de seconde, elle est prompte à se reprendre, redressant le torse et arquant un sourcil. « Am I a suspect, detective? » Elle se tient prête à lui balancer un eat shit parce qu’elle apprécie moyen d’être dans la liste des suspects pour le meurtre d’Ava et encore moins par un type qui cherche à l’aveugler depuis une dizaine de minutes. Elle souffle, plonge les mains dans les poches avec le souvenir des paroles de Marie en tête, en tire finalement sa carte d’identité – où son nom est tout, sauf Jane qu’elle lui tend finalement. « N’en profitez pas pour retenir mon adresse, you perv. Still not sure about you being a real detective. » Mais, contrairement à lui, elle n’a aucun moyen de le vérifier dans l’immédiat, préfère partir du principe qu’il dit vrai (ou, en tout cas, pas totalement faux). Elle ajoute son lien avec Ava, parle d’elle au présent, passé, incapable de démêler ce qui paraît probablement le moins étrange alors qu’elle est la seule personne au monde à pouvoir conserver un lien avec la défunte. Elle opine lentement, n’a bien que faire des condoléances qu’on lui répète – ou lui a répété – parce que ça ne ramènera pas son amie. Il a l’air sincère, lui, et elle décide qu’il est peut-être pas aussi terrible que ça ; de toute façon, c’est un mortel et les mortels ont clairement quelque chose qui cloche dès leur naissance. Elle se fige pourtant, oubliant d’ores et déjà les bonnes résolutions à propos du flic parce que hello no, il lui prendra pas ses négatifs, elle en a besoin, elle, pour une vraie affaire et pas capturer un faux criminel de pacotille. « Je ne pense pas qu’ils vont vous aider, mais ils sont les dernières choses auquel la famille d’Ava peut se raccrocher. » Elle serre son poing libre, prête à dérober les négatifs dès qu’il aura le dos tourné (le coup de l’éléphant sur le mur, ça fonctionne à chaque fois) pour s’enfuir le plus vite possible. Regrette de ne pas être à moitié être de lumière, cupidon, phénix ou bien alien car une petite téléportation aurait été franchement sympa en ce moment. Tant pis pour les questions qu’il pourrait se poser ou sur le remontage de bretelle en règle de la part des Fondateurs (fuck ‘m). L’idée la traverse, rapide, lumineuse et (dans son esprit) particulièrement brillante. Elle l’évoque à voix haute, s’attend à être rabrouée sans ménagement, voire moquée. Il la surprend une nouvelle fois en l’écoutant, semblant… Compatir ? « Not necessarily solve the murder but I need to know that the bastard who did this will pay. And, no offense, but I don’t trust the cops. They usually don’t care about… Us. » Les sorcières – mais dans le cas present, juste les personnes de couleur, thank you very much. Jouer la carte du racisme, c’est dégueulasse, elle en a conscience, mais la part de vérité est trop énorme pour qu’elle passe à côté, surtout si ça peut lui accorder une place dans cette enquête. De nouveau, ses sourcils arquent au laïus qu’il lui débite d’un air nonchalant et Sunny, elle commence à douter de sa santé mentale, l’estomac noué d’un mauvais pressentiment. Elle serre les dents, s’apprête à jouer les idiotes en lui demandant d’élaborer mais il le fait de lui-même et elle prend sur elle pour ne pas pâlir, pour ne pas paniquer, pour ne pas appeler la vaudoo Queen. « Excuse me? » Elle bat des cils, espère que son hébètement passera pour naturel et pas pour une sorcière au bord de l’hyperventilation. « What makes you think she’s a witch? Because she’s a little excentric?! Oh my god, what is wrong with you? » Elle reprend du poil de la bête à mesure qu’elle encaisse la théorie parce qu’il est so fucking close et que c’est so fucking scary et qu’elle se demande, pendant une seconde, si c’était pas un putain de traquenard, que c’est pas lui le fameux witch hunter – et fuck, elle espère bien que non parce que Marie laissera pas passer ça, si jamais elle se fait assassiner, elle aussi, dès son premier soir d’investigation. « You do realise that excentric people aren’t witches or magic creatures, right? And that your so called witch hunter is probably just a fucking psychopath? » Holy shit, holy shit, holy shit. Comment est-ce qu’il peut savoir pour Ava ? Comment est-ce qu’il peut se douter pour Ava ? Elle se force à inspirer calmement, essaie de ravaler la crise d’angoisse qui lui serre le cœur. « Magic doesn’t exist. Sure Ava was… Weird some times, but trust me, I’m much word that her. » Elle durcit le regard, Sunny. Parce que certes, elle apparaît souvent plus étrange qu’Ava ne l’a jamais été, mais aussi parce qu’elle maîtrise la magie bien mieux qu’Ava ne l’aura jamais maîtrisé. Et si c’est lui le responsable, elle le lui montrera. N’en est pourtant pas convaincue, à en juger par la tronche qu’il tire. « Let’s pretend I actually believe in your theory, what are you going to do against a witch hunter, anyway? » Même sans être un demon ou un être magique, il gardera de bien meilleures armes – sauf si le détective lui cache quelque chose. « J’allais vous dire que de mon avis, Ava avait pris en photo son tueur, qu’il était probablement un modèle qu’elle connaissait même si c’était sans doute récent. Sur que votre théorie est un peu plus rock’n’roll. » Jeu de sourcils, un regard levé, des yeux écarquillés. Elle allait devoir la jouer fine, sur ce coup-là. Bien tombé, un certain nombre de flics à Oak Valley et fallait qu’elle tombe sur le seul qui croyait en la magie. Putain de karma de merde.
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Maxym Harding
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MessageSujet: Re: raise you like a phoenix / detective witch   raise you like a phoenix / detective witch EmptyVen 27 Mar - 6:11

so we can take the world back from the heart-attacked, one maniac at a time we will take it back; you know time crawls on when you're waiting for the song to start, so dance along to the beat of your heart
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Il pince les lèvres, fait mine de réfléchir. « Certainement la partie où ses collègues me l’ont désignés. » Il n’est certainement pas toujours de cette humeur jovial (toujours cordial néanmoins). Une certaine conséquence de sa fatigue, ou peut-être bien la persévérance de cette jeune femme, il ne sait pas trop. But he kinda likes it. Il finit par lui demander sa carte d’identité, un simple rituel de contrôle comme il en avait pu effectuer tant. (Faudrait pas qu’elle le brain et qu’elle vole ou saccage le bureau alors qu’il se retrouve sans rien pour la retrouver. En doute franchement, mais bon, autant prendre ses précautions.) « I wouldn’t go as far as that. Just protocol. » Qu’il rétorque, alors qu’elle bombe son torse. Elle ne remplit vraiment pas le profil qu’ils avaient pu dresser de ce chasseur de sorcière. « I’ll try to restrain myself. » Une moue formant ses lèvres pour restreindre un rire, l’amusement de s’échapper. Ouaip, elle a définitivement du mordant. « Mais si tu veux appeler le poste pour vérifier, j’en vois certainement pas l’inconvénient, Jane. » Qu’il appuie sur ce faux nom, alors que la carte se révèle sous le faisceau de lumière. Un mensonge de plus, il a de toute façon arrêté de compter, aurait plutôt dû s’en douter. (Sunshine est nettement plus jolie et beaucoup moins générique en passant, ça lui convient bien mieux.) Une lecture en biais, il retient rapidement les informations essentielles, les grave dans sa mémoire avant de lui rendre sa carte, orienter sa lampe pour balayer la pièce. Les négatifs éparpillés sur le bureau attire son attention alors qu’elle les mentionne. « I’m sorry but like I said, we’ll do as quickly as possible. » Qu’il répète machinalement. Peut-être même s’il gagne le jackpot, le tueur sera un de ses portraits. L’éclairera de toute façon plus, l’aiguillera sur d’autre pistes qu’il est toujours bon de vérifier. Rien ne peut être mis de côté avec ce tueur pour le moins scrupuleux jusqu’à maintenant. Le moindre indice définitivement à prendre. Mais à nouveau, elle le surprend, lui offre cet alias qui manque de le faire rire, maintient ses lèvres droites pour ne faire apparaître ces airs amusés. Qui se transforment en compassion alors qu’il élabore une suggestion sur la véritable raison de sa présence dans ces lieux, à cette heure. Ça fait sens, l’éclaire sur quel genre de personne elle est, passé tout son franc-parler. Et il ne peut la blâmer, aurait fait certainement la même chose si les rôles étaient inversés (et s’il n’était pas devenu flic). « No offense taken. » Il est bien conscient des bavures de la force policière, de tous les biais qui peuvent se mettre en travers de certains agents. Ce qui le répugne au plus haut point. Comme bien d’autres choses, le manque de conscience professionnel de certains (heureusement peu de ce qu’il a pu expérimenter) lui donnant parfois envie de s’arracher les cheveux. Ou de leur arracher, au choix. « But I care… Et j’suis définitivement de ton côté pour que ‘le batârd paie’. » Toute moquerie s’est évaporée, il est totalement sincère, ne souhaite qu’une seule chose : mettre ce fou furieux derrière les barreaux jusqu’à la fin de ses jours. Il n'y a plus que ça qui compte. Espère qu’elle le croira, parce qu’il s’apprête à aller plus loin. Maintenant qu’il sait qu’elle fait partie des proches de cette victime, il est plus que tenté de creuser la théorie qu’il s’alimente depuis le troisième meurtre. Alors il lance la bombe, scrute sa gestuel et ses traits. Il se prétend plutôt doué pour lire les gens mais elle… Elle, lui fout le doute. « I did not say that. » Mais elle s’offusque d’autant plus et son intérieur n’est plus que panique. Gah, c’était vraiment pas la bonne idée. « Well, j’voyais ça plutôt : psychopathe et chasseur de sorcière. » Il garde tout de même une mine neutre, bien décidé à s’enfoncer dans son tombeau. Maintenant qu’il a pris cette route, autant ne pas reculer. Tant pis si elle le prend pour un fou, espère juste qu’elle gardera cette information pour elle si c’est le cas. Il a déjà assez de commentaires déplaisants au poste, pas besoin d’en rajouter. Reste silencieux devant sa nouvelle répartie, maintient contact avec ses yeux bruns qui se durcit. Ne rien dire semble le choix le plus judicieux, compte plutôt la laisser parler. Parce qu’autant qu’il devient certain de sa théorie, il garde tout de même une part d’indécision, sait également qu’elle ne pourrait rien savoir de ce genre de passe-temps de son amie. « La même chose que je fais quand je poursuis des criminels dangereux. » qu’il hausse les épaules. Bien sûr il parle de son arme, de ses entraînements acharnés effectués depuis plus d’années qu’il ne veut maintenant les compter. Risqué d’autant plus que normalement, oui ça l’est certainement. Ne va pas le faire reculer une seconde néanmoins. « Yeah I guess it’s a little funky but I just follow the evidence. » Un nouvel haussement d’épaules, elle est certainement plus cordiale que son partenaire sur ce coup-là. « Mais j’espère que tu as raison, je partage ce même espoir. So we’ll see how it goes. » Il la contourne, s’approche du bureau pour trouver une enveloppe où il enfourne les négatifs. Laisse passer un soupir, lui fait de nouveau face. « Ecoute, j’ignore si la magie existe. Mais je suis sûr que les trois premières victimes s'identifiaient sorcière… Et honnêtement, j’ai vu tellement de weird shits que la magie expliquerait bien des choses. » Les cas mystérieux, impossibles, il en a eu un tas dans la capitale mais surtout ces derniers mois depuis son déménagement. Quelque chose se passe dans cette ville, il en est certain, a du mal à comprendre les esprits obtus de ses collègues qui ne semblent rien remarquer. « So if you know something, anything, please tell me. I could really use some help. » Il a besoin d’être armer devant ce combat contre l’inconnu s’il veut attraper ce monstre avant qu’il ne frappe encore et encore. Parce qu’il s’est bien certain d’une chose c’est que ce meurtrier n’en est qu’à son commencement. « This is uncharted territory for me… mais j’ai le pressentiment que ça ne l’est pas pour toi. » Qu’il persiste, ses traits adoucis presque plaidant. Compte définitivement lui offrir une carte si elle ne compte s’ouvrir ce soir. Son instinct est tout ce qu’il lui reste et il est bien décidé à le suivre.
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Sunny Tremblay
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- moon child : ses pouvoirs fluctuent en fonction des astres (et de leur alignement)

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MessageSujet: Re: raise you like a phoenix / detective witch   raise you like a phoenix / detective witch EmptyDim 26 Avr - 15:40

Elle roule des yeux, Sunny, quand il accentue le faux prénom qu’elle lui a donné alors qu’il a sa carte d’identité en main et qu’il sait que c’est un faux. Sûrement qu’il se croit drôle, elle ne lui fera pourtant pas le plaisir de laisser le moindre trait amusé venir étirer son visage – parce qu’il faudrait surtout pas l’encourager, le flic. C’est qu’elle les connait, Sunny, les officiers et leur humour à deux balles et franchement, c’est à peu près du même niveau que les dad jokes (donc très très bas dans le classement pour ne pas dire à la dernière position parce qu’elle doit aussi composer avec l’humour de sa sœur aînée et ugh, she’s the absolute worst). Elle croise les bras, l’air furibond parce qu’il en démord pas, l’autre, avec les négatifs et que ça l’emmerde. Et pas qu’un peu. « Donc vous allez empêcher une famille de faire son deuil pour ne rien tirer des photos ? » Elle essaie quand même, pas encore prête à laisser la main – c’est pas dans son caractère, clairement, aurait presque souhaité que la mère d’Ava soit présente pour dévoiler un regard full of tears et pour toucher la corde sensible du flic. Mais elle n’est pas là et elle doit se débrouiller seule, la vodoo witch, avec un sans-cœur qui lui fait face et elle souffle, tourne la tête pendant une demi-seconde. Avant proposition. Elle le scrute longuement, en attendant qu’il soupire, qu’il s’insurge parce qu’elle critique ses collègues (lui aussi, en réalité, elle aime croire qu’elle fait pas de favoritisme) mais il ne fait rien et elle doit ravaler sa déception. Vraiment pas un poulet ordinaire, celui-là et c’est pas pour arranger ses affaires. Elle retient l’injure qui voudrait s’exfiltrer de ses lèvres, la bouche devenue une simple ligne dont le coin cherche à s’étirer quand il reprend ses mots. Ok, il est peut-être un peu amusant, finalement. En plus d’avoir l’air honnête et sincère et elle décroise ses bras lentement, la langue allant gonfler sa joue. Avant de sentir un début de crise d’angoisse s’emparer d’elle, l’envie de fuir à toute vitesse parce qu’il sait et qu’il ne peut pas savoir. Elle force, Sunny, elle exagère, parvient à retrouver son ton mordant rapidement par un miracle qu’elle ne s’explique pas (mais elle va pas s’en plaindre parce qu’elle se doute qu’une mauvaise réaction reviendrait à vendre la mèche et ce n’est pas acceptable). Elle joue l’insurgée avec des grands gestes des bras, voudrait pouvoir démonter la théorie mais c’est bien trop vrai pour qu’elle puisse trouver le moindre contre-argument. « Oh, bien sûr, pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué, par vrai ? » Elle plaque un sourire insolent sur son visage, mais elle a beau réfléchir, elle ne trouve rien pour le démonter, espère juste qu’il laissera tomber l’affaire avec ses moqueries. L’idée de devenir Sherlock Holmes d’autant plus nécessaire maintenant qu’il est si proche de la vérité, au moins pour surveiller qu’il ne balance pas sa théorie à n’importe qui (il ne manquerait plus qu’il mène le chasseur de sorcières directement dans le camp vodoo et y aurait un véritable massacre). « La même que… Oh dear Lord. » Elle roule des yeux, passe une main sur son visage. « Vous avez jamais vu de films de sorcières et de magie, ça se voit. Les chasseurs de sorcière sont généralement bien mieux armés que de simples criminels, ils affrontent pas un bourge empâté mais des sorcières, vous savez, des personnes capables de les empoisonner d’un seul souffle, tout ça ? » Sûrement qu’elle devrait la fermer, maintenant mais se retrouve incapable de quitter l’idée qu’il signe son propre arrêt de mort s’il tient à affronter un fucking witch hunter all by himself. Pas qu’elle devrait s’en émouvoir (ça fera un curieux de moins, vraiment, et elle est à peu près certaine que Marie la récompenserait) mais quand même. Ce serait du gâchis. Il se rapproche et elle a un mouvement de recul, maintenant obligée de lever la tête pour continuer à distinguer son visage. Elle n’a pas manqué de voir qu’il a récupéré les négatifs, dissimule une grimace mauvaise. « Oui et y a aussi des gens qui s’identifient en Santa Claus et généralement, ces personnes-là se font mettre dans un hôpital psy. » Il n’a pas l’air de vouloir lâcher sa théorie et elle serre les dents. « Or maybe you just need weed. Not that I have any, » s’empresse-t-elle de rajouter en fronçant les sourcils parce qu’elle a pas besoin de passer une nuit au poste pour possession supposée (même si, là aussi, ce serait véridique, bien qu’elle n’ait rien sur elle, pas folle la guêpe). « Oh non, vous avez raison. C’est pas inné vous savez, il m’a fallu des années avant d’accepter mais les preuves ont fini par être trop nombreuses alors… J’ai fini par accepter le fait que tout ce qu’on voyait à la télévision n’était pas réel et que la magie non plus. » De nouveau parée de son sourire insolent, elle lui tourne le dos, glisse de quelques pas. « Mais si j’accepte de faire semblant de croire à votre théorie est-ce que ça veut dire que vous me laisserez être le Sherlock Holmes de votre John Watson ? Parce que vous avez l’air d’avoir bien besoin de quelqu’un qui garde un esprit logique. » Elle laisse une main traîner sur la table, se cale finalement contre l’un des meubles du labo. Ses yeux se posent sur son visage et elle sent un craquement dans sa poitrine. S’il utilise ses beaux yeux, aussi. « Je vous dis ce que je sais des tendances d’Ava uniquement si vous me laissez bosser sur l’enquête. Et quand je dis bosser, je veux dire vraiment bosser, je veux être là pour les interrogatoires et je veux connaître tous vos suspects avant même que votre boss le sache. » Parce qu’il faut qu’elle vérifie qu’il ne s’agisse pas un démon avant qu’il aille se jeter dans la gueule du loup, l’autre idiot aux tendances suicidaires (bien un mortel que de croire qu’il peut survivre contre les forces magiques). « Et je veux que ce soit écrit. Je connais vos magouilles, je veux pouvoir vous coller un procès au c… aux basques si jamais vous tenez pas parole. » Tient surtout à amortir ses propres fesses de la colère de la Queen si jamais Marie venait à apprendre sa collaboration avec un flic.
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