âge › les quarante ans passés depuis des années maintenant, un anniversaire qu'il a cessé de fêter il y a longtemps malgré l'insistance d'alfred à préparer un plat chaque année pour marquer le coup. huit ans de plus que son père ne le sera jamais, un constat qui le frappe tous les jours un peu davantage alors qu'il a l'impression de n'avoir rien accompli d'assez frappant pour rendre thomas wayne proud of him. et trop vieux, maintenant, pour mener sa double vie (pas que ça l'empêche de le faire quand même) et, selon lui, trop vieux également pour débuter une vie de famille (ce n'est pas tout à fait de l'avis d'alfred). profession › à la tête de wayne industries, héritage familial s'il en est, il a aidé à étendre l'empire wayne en multipliant les laboratoires, les entreprises et il règne presque sur l'ensemble de la ville (pas que ce soit son but, il essaie juste d'aider et s'assure que chaque nouvelle entreprise puisse durer dans le temps). un pdg qui ne va dans les locaux qu'en de rares occasions, à présent mais qui continue d'être l'image de la boîte et celui qui est invité à tous les galas. la nuit, il revêt son masque pour devenir the dark knight, entité sombre et dangereuse s'il en croit les journaux et la police locale. perçu comme une menace, incompris, le batman est pourtant là pour aider la ville à se nettoyer de ses criminels. classe sociale › parmi les plus hautes, si ce n'est, la plus haute. milliardaire qui ne voit jamais le bout de son compte en banque, il n'a jamais à s'inquiéter des lendemains ni de ses dépenses. statut › alfred se lamente chaque jour, mais il reste célibataire. il conserve toutefois son image de séducteur en ramenant régulièrement une femme différente à son bras à chaque fois qu'il doit se montrer devant les journalistes, prétendra à qui veut l'entendre que c'est qui il est ; en réalité, c'est surtout trop dangereux pour lui de se lancer dans la moindre relation. il ferait de cette personne l'appât parfait pour tous ses ennemis, risque qu'il n'est pas prêt à prendre. marqué par la présence de selina, c'est pourtant diana qui occupe la plupart de ses pensées depuis qu'il l'a rencontrée et s'il a conscience qu'il pourrait laisser tomber les barrières avec elle (elle n'a pas besoin de protection, après tout), il se le refuse.
race › simple humain qui se faufile parmi les meta-humains, les aliens, les dieux (ou demi-dieux). son intelligence et sa richesse l'aide à prétendre être bien plus fort qu'il ne l'est en réalité. pouvoir › • un entraînement finement rôdé et continu dans les arts martiaux (de tous types) qu'il continue d'entretenir régulièrement. • une intelligence supérieure à la norme qu'il met à bon escient la plupart du temps et dont il se sert pour designer de nouvelles technologiques qui lui serviront en tant que batman. • excellent détective (que sa paranoïa alimente régulièrement) qui garde un oeil sur tout et tout le monde. • rich boy allégeance › le bien, toujours, forcément, même.
batman
où tu t'arrêtes › on va dire fin de la snyder's cut de justice league, plus ou moins début justice league animated du coup. c'pas tellement défini, j'fais un petit melting pot en vrai mdrrr depuis quand t'es arrivé à oak valley › il en est originaire, né dans le quartier de gotham où il a grandit. il a brièvement quitté le continent pour les études, le temps aussi de s'entraîner avant de revenir et d'enfiler la tenue du batman.
qualités › responsable, méticuleux, leadership, charmeur, smartass, inventif, s'adapte en toute situation, protecteur, instinct paternel plus développé qu'il ne veut l'admettre, altruiste défauts › paranoïaque, control-freak, introverti, double, solitaire, sombre, désillusionné, aucun sens de l'humour, blasé, aucun sens de l'amusement
hobbies › traquer les gens afin de tout savoir sur eux // chasser les criminels la nuit déguisé en chauve-souris // acheter des nouvelles voitures // acheter des maisons // acheter des magasins // acheter en général // sauver des orphelins // voyager // inventer de nouveaux gadgets (les designer, laisser alfred et/ou lucius faire le reste) // participer à des galas de charité espérer y croiser diana // aider les gens anecdote › chaque année, il verse une importante somme d'argent à diverses associations non lucrative, souvent dans la recherche scientifique, technologique, ou dans des orphelinats // il fait régulièrement des cauchemars. ces derniers concernent souvent l'avenir du monde et/ou la mort de ses parents. il n'en parle à personne, pas même à alfred (surtout pas à alfred). // péché mignon : les cookies chocolate cramberries. // possède six satellites qui lui permettent d'être au courant de tout, en toute circonstance. // n'a plus vécu au manoir wayne depuis des années, y mettant rarement les pieds à cause des souvenirs. // tolère mal le fait d'être maintenant plus âgé que son père ne le sera jamais. // déteste les clowns, les pingouins et les épouvantails. // se sent vite responsable quand quelque chose tourne mal, peu importe le sujet. n'éprouve, en revanche, jamais le syndrôme de l'imposteur (même face à des aliens, des demi-dieux, des princesses ou des meta-humains). // il ne prend plus de protégés depuis le décès de dick.
« Endure, Master Wayne. Take it. They'll hate for it, but that's the point of Batman, he can be the outcast. »
fils de thomas et martha wayne, les personnes les plus altruistes et philantrophes qui existent probablement. le couple idyllique, power couple s'il en est. il est leur fils unique, bruce, l'enfant choyé par ses parents (et le majordome qu'est alfred, derrière son visage impassible et ses airs pinces sans rien ô combien british). la famille idéale, à peu de choses près. bruce, il admire son père, adore sa mère, rêve de devenir médecin pour suivre les pas de thomas. bruce, il a tout pour être heureux, de l'argent à n'en plus pouvoir, de l'amour pour le combler. › il a toujours été un peu solitaire, bruce. peu d'amis, voire aucun, à l'école, des difficultés à s'intégrer en société. il prétend, essaie du moins, créé quelques liens ici et là mais rien de marquant ou d'important. perçu comme snob, peut-être un peu prétentieux, il suscite pourtant les éloges du personnel enseignant avec des notes remarquables, une intelligence rare et une capacité d'analyse hors du commun. ses parents, aidés d'alfred, essaient de le pousser à tisser des amitiés, mais c'est peine perdue, semble-t-il. bruce, il préfère la compagnie des adultes bien plus que celle des jeunes de son âge. › la vie parfaite bascule. il a huit ans. une sortie en famille au cinéma qui sera la dernière pour le gamin, puis l'homme. il se souvient de la nuit sombre, des lampadaires qui grésillent. il se souvient du rire de sa mère, de la main de son père sur son épaule, des mains entrelacées de ses parents. il se souvient avoir boudé pendant un temps, grognon comme souvent à cette période. il se souvient de la silhouette qui sort de l'ombre, de sa voix qui aboie, de son père qui se place devant eux, réflexe, instinct, il ne sait pas. il se souvient du premier coup de feu, de la stupeur, du cri de sa mère. il se souvient de son père qui tombe à terre, de sa mère qui veut passer, agir et du collier de perles qui se brise. il se souvient de son cri, à lui. il ne sait pas si l'homme a fuit à cet instant, s'il a cherché à s'en prendre à lui. il ne sait plus qui a appelé la police, combien de temps il est resté dans cette ruelle sombre, entre les corps de ses deux parents, une main sur l'un pour essayer d'arrêter l'hémorragie, puis sur l'autre. il n'a aucun souvenir d'alfred qui le récupère au poste de police, ni des mots de l'inspecteur sur le moment. › privé de ses parents et de ce qui représentait jusqu'alors tout son monde, il échappe aux pensionnats grâce à alfred. le majordome le prend sous son aile, prend en main son éducation. il ne retourne plus en cours, apprend tout grâce aux livres de l'immense bibliothèque du manoir, au savoir d'alfred. ce dernier le forge à devenir un homme, un véritable gentleman à l'anglaise, des principes qui lui restent en tête chaque jour. plus qu'un tuteur, alfred devient la figure paternelle qui manque à sa vie, un ami, un confident, aussi, par bien des égards. rien ne lui échappe, jamais, mais malgré ses efforts pour essayer de sociabiliser bruce à partir de ses dix ans, rien n'y fait. l'enfant reste plus solitaire que jamais. › il créé son personnage plein de faux semblant à cet instant, alors qu'il entame un tour du monde. facette de dragueur, fêtard, celui qui s'entoure sans pour autant s'attacher. identité factice, en apparence sans défaut ou presque, il joue le jeu, le rôle qu'il s'impose à lui-même, incapable de réellement savoir qui il est au fond de lui-même. il découvre les arts martiaux, des cultures différentes, apprend différentes langues jusqu'à la maîtrise. il s'imprègne et commence, sans le savoir à ce moment-là, à créer le batman. › à son retour, oak valley et plus précisémment gotham ont plongé. les heures noires ne sont plus inconnues que la ville, la pègre monte en puissance, s'empare des rues, la criminalité est en hausse permanente et la police est dépassée, regorgeant de ripous. l'injustice règne, les meurtres sont monnaie courante, les agressions plus fréquentes encore. le souvenir de l'assassinat des wayne est ravivé dans son esprit, tout comme celui du jour où il est tombé dans un puits et où les chauves-souris, d'abord terrifiantes, ont fini par l'aider, achevant l'idée ayant germé plusieurs mois auparavant. il enfile pour la première fois l'uniforme du batman, image augure de la chauve-souris pour effrayer. homme de jour, oiseau de nuit. il est scindé, jamais totalement bruce, incapable d'être entièrement the dark knight non plus. › son identité nocturne est toutefois appréhendée comme un nouveau criminel. personnalité violente, pourchassé par la police, craint par la population. il n'essaie pas de détourner cette perception bien qu'erronnée, se contente d'aider dans l'ombre, jusqu'à ce que jim gordon ne comprenne qu'il n'est pas un nouvel ennemi mais un allié. le batsignal prend vie, certains officiers acceptent l'aide qu'il leur offre, les enfants commencent à voir en lui un nouveau héro, bien que toujours relativement effrayés. › l'identité du batman est conservée sous silence, seul alfred connait la vérité. le majordome aide, n'hésite pas à revêtir lui-même l'habit de la chauve-souris lorsque bruce doit faire une apparition à un endroit afin de semer le doute chez ceux qui pourrait avoir des suspicions. il joue les deux personnalités avec brio, se perdant un peu plus lui-même, jusqu'à s'identifier bien davantage au personnage du cavalier noir qu'à celle de bruce, au grand damn d'alfred. › un gamin orphelin croisé et il le prend sous son aile. dick grayson, gymnaste. ça a paru être une bonne idée, sur le moment. l'entraîner, pourquoi pas le faire devenir le prochain batman — c'est qu'il a conscience de vieillir, bruce, et qu'il sait qu'il ne pourra pas chasser les criminels indéfiniement. dick est malin, déterminé. les tensions sont nombreuses, les divergences plus encore. dick pense savoir mieux que lui, bruce n'est pas homme à admettre la défaite facilement, ni même ses torts. pourtant, lorsque dick enfile l'habit de la chauve-souris pour aller affronter le joker et n'en revient pas, bruce sait qu'il a failli. le garçon quasiment adopté décédé, n'ayant que son corps à ramené, bruce lâche prise sur le peu de saineté qui lui reste. cerise sur le gâteau lorsque superman affronte un vaisseau alien, semant la panique et la catastrophe jusqu'aux limites de gotham. le bat se fait de l'homme aux collants son ennemi numéro un, persuadé qu'il finira par provoquer la fin du monde. › méfiance mutuelle, la confrontation est violente. bruce, encore particulièrement secoué par le décès de dick, ne semble plus avoir de limite et il lui faut du temps avant de se rendre compte que superman n'est pas l'ennemi. › il a rencontré diana prince lors d'une invitation par lex luthor. elle a capté son attention par sa beauté singulière, mais plus encore quand elle a choisi de lui voler son hard drive qui copiait les données détenues par luthor. ce n'est qu'après qu'il a découvert qu'elle était wonder woman (non pas qu'il sache bien qui elle était à l'époque). › après la mort de superman pour laquelle il se sent responsable, bruce garde en tête que le monde est menacé. il a contacté d'autres meta-humains, arthur curry, victor stone et barry allen, avec l'aide de diana pour lutter ensemble. ils ont également ramené clark à la vie, créant tous ensemble la justice league bien que le nom n'ait jamais été officiellement prononcé et il a fait rénover le manoir wayne pour en faire le quartier générale de la ligue. › approché par the martian manhunter, j'onn j'onzz, il garde espoir qu'il y en ait d'autres et qu'ils puissent bâtir une armée afin de lutter contre darkseid. il garde également en tête ses cauchemars qui semblent être des prémonitions et garde donc un oeil sur lois lane, la clé (même s'il ignore encore de quoi).
note sur dick grayson:
comme il n'est jamais question des autres robins dans le snyderverse puisque personne ne semble vivre avec bruce (et qu'alfred parle du manque de descendance wayne dans bvs) je pars du principe qu'au lieu que ce soit jason todd, c'est dick qui a été tué par le joker. les autres, à l'exception de barbara gordon, n'ont donc jamais rencontré bruce.
pseudo › atlantis prénom › manouchka âge › vingt-cinq. comment t'as connu ov › ça s'passe de commentaires. ton choix › mon amour pour brucie n'est plus à prouver depuis longtemps, tout le monde sait que je l'aime depuis que j'suis gosse, que la version snyder/affleck est parfaitement celle que j'ai en tête depuis des années. j'aime ce qu'il symbolise, j'aime que ce ne soit pas un super héro, j'aime sa gueule (ptdr). bref. je l'aime, donc, je le joue. (puis il me manquait, puis la snyder's cut a fini de m'achever mdrrr). avatar › ben affleck baby. crédit › eden memories (avatar), appreciatingcomics (img), happy coffee (icon), alfred pennyworth (quote). une déclaration › .
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fils de thomas et martha wayne, les personnes les plus altruistes et philantrophes qui existent probablement. le couple idyllique, power couple s'il en est. il est leur fils unique, bruce, l'enfant choyé par ses parents (et le majordome qu'est alfred, derrière son visage impassible et ses airs pinces sans rien ô combien british). la famille idéale, à peu de choses près. bruce, il admire son père, adore sa mère, rêve de devenir médecin pour suivre les pas de thomas. bruce, il a tout pour être heureux, de l'argent à n'en plus pouvoir, de l'amour pour le combler. › il a toujours été un peu solitaire, bruce. peu d'amis, voire aucun, à l'école, des difficultés à s'intégrer en société. il prétend, essaie du moins, créé quelques liens ici et là mais rien de marquant ou d'important. perçu comme snob, peut-être un peu prétentieux, il suscite pourtant les éloges du personnel enseignant avec des notes remarquables, une intelligence rare et une capacité d'analyse hors du commun. ses parents, aidés d'alfred, essaient de le pousser à tisser des amitiés, mais c'est peine perdue, semble-t-il. bruce, il préfère la compagnie des adultes bien plus que celle des jeunes de son âge. › la vie parfaite bascule. il a huit ans. une sortie en famille au cinéma qui sera la dernière pour le gamin, puis l'homme. il se souvient de la nuit sombre, des lampadaires qui grésillent. il se souvient du rire de sa mère, de la main de son père sur son épaule, des mains entrelacées de ses parents. il se souvient avoir boudé pendant un temps, grognon comme souvent à cette période. il se souvient de la silhouette qui sort de l'ombre, de sa voix qui aboie, de son père qui se place devant eux, réflexe, instinct, il ne sait pas. il se souvient du premier coup de feu, de la stupeur, du cri de sa mère. il se souvient de son père qui tombe à terre, de sa mère qui veut passer, agir et du collier de perles qui se brise. il se souvient de son cri, à lui. il ne sait pas si l'homme a fuit à cet instant, s'il a cherché à s'en prendre à lui. il ne sait plus qui a appelé la police, combien de temps il est resté dans cette ruelle sombre, entre les corps de ses deux parents, une main sur l'un pour essayer d'arrêter l'hémorragie, puis sur l'autre. il n'a aucun souvenir d'alfred qui le récupère au poste de police, ni des mots de l'inspecteur sur le moment. › privé de ses parents et de ce qui représentait jusqu'alors tout son monde, il échappe aux pensionnats grâce à alfred. le majordome le prend sous son aile, prend en main son éducation. il ne retourne plus en cours, apprend tout grâce aux livres de l'immense bibliothèque du manoir, au savoir d'alfred. ce dernier le forge à devenir un homme, un véritable gentleman à l'anglaise, des principes qui lui restent en tête chaque jour. plus qu'un tuteur, alfred devient la figure paternelle qui manque à sa vie, un ami, un confident, aussi, par bien des égards. rien ne lui échappe, jamais, mais malgré ses efforts pour essayer de sociabiliser bruce à partir de ses dix ans, rien n'y fait. l'enfant reste plus solitaire que jamais. › il créé son personnage plein de faux semblant à cet instant, alors qu'il entame un tour du monde. facette de dragueur, fêtard, celui qui s'entoure sans pour autant s'attacher. identité factice, en apparence sans défaut ou presque, il joue le jeu, le rôle qu'il s'impose à lui-même, incapable de réellement savoir qui il est au fond de lui-même. il découvre les arts martiaux, des cultures différentes, apprend différentes langues jusqu'à la maîtrise. il s'imprègne et commence, sans le savoir à ce moment-là, à créer le batman. › à son retour, oak valley et plus précisémment gotham ont plongé. les heures noires ne sont plus inconnues que la ville, la pègre monte en puissance, s'empare des rues, la criminalité est en hausse permanente et la police est dépassée, regorgeant de ripous. l'injustice règne, les meurtres sont monnaie courante, les agressions plus fréquentes encore. le souvenir de l'assassinat des wayne est ravivé dans son esprit, tout comme celui du jour où il est tombé dans un puits et où les chauves-souris, d'abord terrifiantes, ont fini par l'aider, achevant l'idée ayant germé plusieurs mois auparavant. il enfile pour la première fois l'uniforme du batman, image augure de la chauve-souris pour effrayer. homme de jour, oiseau de nuit. il est scindé, jamais totalement bruce, incapable d'être entièrement the dark knight non plus. › son identité nocturne est toutefois appréhendée comme un nouveau criminel. personnalité violente, pourchassé par la police, craint par la population. il n'essaie pas de détourner cette perception bien qu'erronnée, se contente d'aider dans l'ombre, jusqu'à ce que jim gordon ne comprenne qu'il n'est pas un nouvel ennemi mais un allié. le batsignal prend vie, certains officiers acceptent l'aide qu'il leur offre, les enfants commencent à voir en lui un nouveau héro, bien que toujours relativement effrayés. › l'identité du batman est conservée sous silence, seul alfred connait la vérité. le majordome aide, n'hésite pas à revêtir lui-même l'habit de la chauve-souris lorsque bruce doit faire une apparition à un endroit afin de semer le doute chez ceux qui pourrait avoir des suspicions. il joue les deux personnalités avec brio, se perdant un peu plus lui-même, jusqu'à s'identifier bien davantage au personnage du cavalier noir qu'à celle de bruce, au grand damn d'alfred. › un gamin orphelin croisé et il le prend sous son aile. dick grayson, gymnaste. ça a paru être une bonne idée, sur le moment. l'entraîner, pourquoi pas le faire devenir le prochain batman — c'est qu'il a conscience de vieillir, bruce, et qu'il sait qu'il ne pourra pas chasser les criminels indéfiniement. dick est malin, déterminé. les tensions sont nombreuses, les divergences plus encore. dick pense savoir mieux que lui, bruce n'est pas homme à admettre la défaite facilement, ni même ses torts. pourtant, lorsque dick enfile l'habit de la chauve-souris pour aller affronter le joker et n'en revient pas, bruce sait qu'il a failli. le garçon quasiment adopté décédé, n'ayant que son corps à ramené, bruce lâche prise sur le peu de saineté qui lui reste. 
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